Je tiens à remercier chaleureusement l’équipe Gleeph ainsi que les éditions Calix pour m’avoir permis de découvrir ce livre en avant-première.
Et si on parlait de la beauté de ce roman ? J’en suis littéralement tombée amoureuse dès les premières secondes. L’objet-livre est superbe, et les illustrations retranscrivent à merveille l’univers dans lequel on plonge.
Dans cette histoire, nous faisons la connaissance de Belle, une jeune sorcière libraire qui, le jour de ses 30 ans, doit se présenter devant son Coven pour y passer un test. Mais rien ne se déroule comme prévu. Déterminée à ne pas perdre ses pouvoirs, Belle accepte de suivre l’enseignement d’un mentor désigné, accompagnée de Rune, le protecteur du Coven.
Il s’agit de ma première incursion dans la cosy fantasy, et j’ai été agréablement surprise par la facilité avec laquelle on s’imprègne du worldbuilding. Les descriptions sont à la fois riches et précises, sans jamais alourdir la lecture. J’ai pu visualiser sans effort Lunar Books, la librairie où travaille Belle, la Maison Hécate ou encore le chaleureux foyer d’Arti.
Côté personnages, il y a de belles découvertes. Arti est celui auquel je me suis le plus attachée : il a ce rôle de grand-père bienveillant, à la fois un peu triste et profondément touchant par sa résilience. C’est un personnage haut en couleur qu’on ne peut qu’aimer.
Rune, quant à lui, incarne le charisme et le mystère. Protecteur investi, il intrigue autant qu’il fascine. J’aurais aimé le voir davantage, même si je comprends que le récit reste centré sur Belle.
Et justement, Belle est une héroïne à laquelle on ne peut que s’identifier. Entre doutes et manque de confiance, elle est terriblement humaine. C’est une véritable quête d’identité qu’elle traverse, et c’est bouleversant de la voir évoluer, pas à pas, en apprenant à s’écouter.
J’ai beaucoup aimé la façon dont son attirance pour Rune est développée. Leurs premières interactions sont pleines de tension subtile, et la suite se révèle douce et attendrissante. En grande amatrice de romance, j’aurais adoré que cette dimension soit un peu plus approfondie, mais peut-être est-ce une particularité du genre.
Côté intrigue, j’ai été très agréablement surprise. Je m’attendais à une narration plutôt linéaire, propre aux ambiances cosy. Et pourtant, l’action est bien présente, parfaitement dosée, et vient relancer l’intérêt au bon moment. Ce rythme maîtrisé rend l’histoire encore plus immersive.
En résumé, c’est un véritable roman doudou, parfait pour être savouré au coin du feu en automne. Une lecture qui réchauffe le cœur et nous emmène avec Belle dans une quête de soi pleine de douceur et de sensibilité. Et puis, au fil des pages, de jolis messages se dévoilent… mais je vous laisse le plaisir de les découvrir par vous-mêmes.
Je tiens à remercier chaleureusement l’équipe Gleeph ainsi que les éditions Calix pour m’avoir permis de découvrir ce livre en avant-première.
Et si on parlait de la beauté de ce roman ? J’en suis littéralement tombée amoureuse dès les premières secondes. L’objet-livre est superbe, et les illustrations retranscrivent à merveille l’univers dans lequel on plonge.
Dans cette histoire, nous faisons la connaissance de Belle, une jeune sorcière libraire qui, le jour de ses 30 ans, doit se présenter devant son Coven pour y passer un test. Mais rien ne se déroule comme prévu. Déterminée à ne pas perdre ses pouvoirs, Belle accepte de suivre l’enseignement d’un mentor désigné, accompagnée de Rune, le protecteur du Coven.
Il s’agit de ma première incursion dans la cosy fantasy, et j’ai été agréablement surprise par la facilité avec laquelle on s’imprègne du worldbuilding. Les descriptions sont à la fois riches et précises, sans jamais alourdir la lecture. J’ai pu visualiser sans effort Lunar Books, la librairie où travaille Belle, la Maison Hécate ou encore le chaleureux foyer d’Arti.
Côté personnages, il y a de belles découvertes. Arti est celui auquel je me suis le plus attachée : il a ce rôle de grand-père bienveillant, à la fois un peu triste et profondément touchant par sa résilience. C’est un personnage haut en couleur qu’on ne peut qu’aimer.
Rune, quant à lui, incarne le charisme et le mystère. Protecteur investi, il intrigue autant qu’il fascine. J’aurais aimé le voir davantage, même si je comprends que le récit reste centré sur Belle.
Et justement, Belle est une héroïne à laquelle on ne peut que s’identifier. Entre doutes et manque de confiance, elle est terriblement humaine. C’est une véritable quête d’identité qu’elle traverse, et c’est bouleversant de la voir évoluer, pas à pas, en apprenant à s’écouter.
J’ai beaucoup aimé la façon dont son attirance pour Rune est développée. Leurs premières interactions sont pleines de tension subtile, et la suite se révèle douce et attendrissante. En grande amatrice de romance, j’aurais adoré que cette dimension soit un peu plus approfondie, mais peut-être est-ce une particularité du genre.
Côté intrigue, j’ai été très agréablement surprise. Je m’attendais à une narration plutôt linéaire, propre aux ambiances cosy. Et pourtant, l’action est bien présente, parfaitement dosée, et vient relancer l’intérêt au bon moment. Ce rythme maîtrisé rend l’histoire encore plus immersive.
En résumé, c’est un véritable roman doudou, parfait pour être savouré au coin du feu en automne. Une lecture qui réchauffe le cœur et nous emmène avec Belle dans une quête de soi pleine de douceur et de sensibilité. Et puis, au fil des pages, de jolis messages se dévoilent… mais je vous laisse le plaisir de les découvrir par vous-mêmes.