Responsabilité sociétale des entreprises et performance financière. Etude appliquée aux entreprises marocaines
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- Nombre de pages374
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.586 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-21891-5
- EAN9782343218915
- Date de parution13/01/2021
- CollectionL'esprit économique. L'économi
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMichel Capron
- PostfacierJean Pasquero
Résumé
En convoquant une documentation théorique saillante et profonde, cet ouvrage fait un tour d'horizon stimulant de l'état de la recherche internationale en Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et constitue un garde-fou essentiel contre les interprétations simplistes qui dénaturent le débat sur une vieille quête de la recherche en management : pourquoi vouloir vérifier s'il existe une relation entre RSE et performance financière ? L'auteur concède un aperçu finement documenté de la RSE au Maroc, prise entre prescriptions légales, initiatives individuelles, et une demande sociale qui tarde à s'affirmer.
Nonobstant, comme ailleurs, et malgré les doutes de certains, la RSE existe bel et bien au Maroc, au point même que le label RSE de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a déjà récompensé des dizaines d'entreprises. Cet ouvrage est riche d'enseignements dont un grand nombre de lecteurs pourraient bénéficier. Les premiers sont les chercheurs, pour sa générosité théorique, sa prudence méthodologique, et sa virtuosité statistique.
Les autres sont tous les acteurs pour lesquels la RSE n'est qu'une idée confuse, marginale, coûteuse, voire inutile ou contreproductive : les managers sceptiques seront rassurés, les parties prenantes y gagneront un argument persuasif, l'Etat y verra peut-être un encouragement à intéresser les entreprises à développer des programmes de RSE profitant au bien commun (Pasquero, 2020).
Nonobstant, comme ailleurs, et malgré les doutes de certains, la RSE existe bel et bien au Maroc, au point même que le label RSE de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a déjà récompensé des dizaines d'entreprises. Cet ouvrage est riche d'enseignements dont un grand nombre de lecteurs pourraient bénéficier. Les premiers sont les chercheurs, pour sa générosité théorique, sa prudence méthodologique, et sa virtuosité statistique.
Les autres sont tous les acteurs pour lesquels la RSE n'est qu'une idée confuse, marginale, coûteuse, voire inutile ou contreproductive : les managers sceptiques seront rassurés, les parties prenantes y gagneront un argument persuasif, l'Etat y verra peut-être un encouragement à intéresser les entreprises à développer des programmes de RSE profitant au bien commun (Pasquero, 2020).
En convoquant une documentation théorique saillante et profonde, cet ouvrage fait un tour d'horizon stimulant de l'état de la recherche internationale en Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et constitue un garde-fou essentiel contre les interprétations simplistes qui dénaturent le débat sur une vieille quête de la recherche en management : pourquoi vouloir vérifier s'il existe une relation entre RSE et performance financière ? L'auteur concède un aperçu finement documenté de la RSE au Maroc, prise entre prescriptions légales, initiatives individuelles, et une demande sociale qui tarde à s'affirmer.
Nonobstant, comme ailleurs, et malgré les doutes de certains, la RSE existe bel et bien au Maroc, au point même que le label RSE de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a déjà récompensé des dizaines d'entreprises. Cet ouvrage est riche d'enseignements dont un grand nombre de lecteurs pourraient bénéficier. Les premiers sont les chercheurs, pour sa générosité théorique, sa prudence méthodologique, et sa virtuosité statistique.
Les autres sont tous les acteurs pour lesquels la RSE n'est qu'une idée confuse, marginale, coûteuse, voire inutile ou contreproductive : les managers sceptiques seront rassurés, les parties prenantes y gagneront un argument persuasif, l'Etat y verra peut-être un encouragement à intéresser les entreprises à développer des programmes de RSE profitant au bien commun (Pasquero, 2020).
Nonobstant, comme ailleurs, et malgré les doutes de certains, la RSE existe bel et bien au Maroc, au point même que le label RSE de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a déjà récompensé des dizaines d'entreprises. Cet ouvrage est riche d'enseignements dont un grand nombre de lecteurs pourraient bénéficier. Les premiers sont les chercheurs, pour sa générosité théorique, sa prudence méthodologique, et sa virtuosité statistique.
Les autres sont tous les acteurs pour lesquels la RSE n'est qu'une idée confuse, marginale, coûteuse, voire inutile ou contreproductive : les managers sceptiques seront rassurés, les parties prenantes y gagneront un argument persuasif, l'Etat y verra peut-être un encouragement à intéresser les entreprises à développer des programmes de RSE profitant au bien commun (Pasquero, 2020).