Résister à la militarisation. Le Groupe d’action et de résistance à la militarisation Lyon 1967-1984
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- Nombre de pages324
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-35104-121-5
- EAN9782351041215
- Date de parution01/12/2018
- ÉditeurAtelier de création libertaire
Résumé
Créé en 1967 par quelques militants expérimentés – les convictions de ces hommes et de ces femmes étaient, de manière prépondérante, pacifistes, non-violentes, chrétiennes ou socialistes – le Garm (Groupe d’action et de résistance à la militarisation) s’est enrichi de l’esprit libertaire de Mai 68 et de l’apport de nombreux jeunes. Il a mobilisé des centaines de membres et des milliers de sympathisants.
Ses actions dans la région lyonnaise, souvent spectaculaires et teintées d’humour, ont provoqué un retentissement national. Comme ses analyses, elles ont largement été le moteur de nouvelles pratiques et réflexions critiques à propos de l’armée et de la militarisation. Alors que la plupart des organisations de la même mouvance proposaient des objectifs et des méthodes spécifiques (le pacifisme, l’opposition aux armes nucléaires, les droits des soldats, l’objection, l’insoumission, la défense non-violente, l’armée populaire, l’anti-impérialisme…), le Garm, lui, a systématiquement abordé tous les aspects de la politique de Défense et a pratiqué et soutenu de nombreuses formes d’opposition à cette dernière en France et à l’étranger, jusqu’au milieu des années quatre-vingt.
Ses actions dans la région lyonnaise, souvent spectaculaires et teintées d’humour, ont provoqué un retentissement national. Comme ses analyses, elles ont largement été le moteur de nouvelles pratiques et réflexions critiques à propos de l’armée et de la militarisation. Alors que la plupart des organisations de la même mouvance proposaient des objectifs et des méthodes spécifiques (le pacifisme, l’opposition aux armes nucléaires, les droits des soldats, l’objection, l’insoumission, la défense non-violente, l’armée populaire, l’anti-impérialisme…), le Garm, lui, a systématiquement abordé tous les aspects de la politique de Défense et a pratiqué et soutenu de nombreuses formes d’opposition à cette dernière en France et à l’étranger, jusqu’au milieu des années quatre-vingt.
Créé en 1967 par quelques militants expérimentés – les convictions de ces hommes et de ces femmes étaient, de manière prépondérante, pacifistes, non-violentes, chrétiennes ou socialistes – le Garm (Groupe d’action et de résistance à la militarisation) s’est enrichi de l’esprit libertaire de Mai 68 et de l’apport de nombreux jeunes. Il a mobilisé des centaines de membres et des milliers de sympathisants.
Ses actions dans la région lyonnaise, souvent spectaculaires et teintées d’humour, ont provoqué un retentissement national. Comme ses analyses, elles ont largement été le moteur de nouvelles pratiques et réflexions critiques à propos de l’armée et de la militarisation. Alors que la plupart des organisations de la même mouvance proposaient des objectifs et des méthodes spécifiques (le pacifisme, l’opposition aux armes nucléaires, les droits des soldats, l’objection, l’insoumission, la défense non-violente, l’armée populaire, l’anti-impérialisme…), le Garm, lui, a systématiquement abordé tous les aspects de la politique de Défense et a pratiqué et soutenu de nombreuses formes d’opposition à cette dernière en France et à l’étranger, jusqu’au milieu des années quatre-vingt.
Ses actions dans la région lyonnaise, souvent spectaculaires et teintées d’humour, ont provoqué un retentissement national. Comme ses analyses, elles ont largement été le moteur de nouvelles pratiques et réflexions critiques à propos de l’armée et de la militarisation. Alors que la plupart des organisations de la même mouvance proposaient des objectifs et des méthodes spécifiques (le pacifisme, l’opposition aux armes nucléaires, les droits des soldats, l’objection, l’insoumission, la défense non-violente, l’armée populaire, l’anti-impérialisme…), le Garm, lui, a systématiquement abordé tous les aspects de la politique de Défense et a pratiqué et soutenu de nombreuses formes d’opposition à cette dernière en France et à l’étranger, jusqu’au milieu des années quatre-vingt.