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Résistances affectives. Les politiques de l'attachement face aux politiques de la cruauté
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.316 kg
- Dimensions14,2 cm × 20,7 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-348-08814-8
- EAN9782348088148
- Date de parution11/09/2025
- CollectionCahiers libres
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
Pourquoi certaines morts soulèvent-elles des foules ? Comment les émotions et les relations peuvent-elles devenir des formes de résistance ? De Baltimore à Téhéran, de Buenos Aires à Delhi, cet essai traverse les soulèvements contemporains à partir de leurs matières sensibles, et déplie leur héritage féministe. C'est de là que part la question de la résistance affective, interrogeant ce que nos vulnérabilités, nos colères, nos attachements font à la politique.
Il ne s'agit pas d'opposer l'émotion à la raison, mais de penser les affects comme une mémoire vive, un point d'appui et de riposte face aux politiques de la cruauté. Au fil des pages, se dessinent les systèmes nerveux de la résistance, les savoirs nocturnes qui hantent l'histoire, les formes de soin qui sous tendent l'organisation politique. Le récit s'attache à ce que le pouvoir fait aux corps - et ce que les corps font à la politique.
De l'intime au collectif, l'enquête avance en suivant des points de tension (l'indignation, le deuil, la mémoire, les liens) qui tracent les chemins par lesquels on tient, on se relève et on répond. La colère face à une injustice, le chagrin qui ne passe pas, l'impression que ce qui compte est effacé : ce qu'on ressent est aussi politique - et ces expériences ordinaires nous invitent à porter attention à ce qui, en chacun, résiste déjà.
Il ne s'agit pas d'opposer l'émotion à la raison, mais de penser les affects comme une mémoire vive, un point d'appui et de riposte face aux politiques de la cruauté. Au fil des pages, se dessinent les systèmes nerveux de la résistance, les savoirs nocturnes qui hantent l'histoire, les formes de soin qui sous tendent l'organisation politique. Le récit s'attache à ce que le pouvoir fait aux corps - et ce que les corps font à la politique.
De l'intime au collectif, l'enquête avance en suivant des points de tension (l'indignation, le deuil, la mémoire, les liens) qui tracent les chemins par lesquels on tient, on se relève et on répond. La colère face à une injustice, le chagrin qui ne passe pas, l'impression que ce qui compte est effacé : ce qu'on ressent est aussi politique - et ces expériences ordinaires nous invitent à porter attention à ce qui, en chacun, résiste déjà.
Pourquoi certaines morts soulèvent-elles des foules ? Comment les émotions et les relations peuvent-elles devenir des formes de résistance ? De Baltimore à Téhéran, de Buenos Aires à Delhi, cet essai traverse les soulèvements contemporains à partir de leurs matières sensibles, et déplie leur héritage féministe. C'est de là que part la question de la résistance affective, interrogeant ce que nos vulnérabilités, nos colères, nos attachements font à la politique.
Il ne s'agit pas d'opposer l'émotion à la raison, mais de penser les affects comme une mémoire vive, un point d'appui et de riposte face aux politiques de la cruauté. Au fil des pages, se dessinent les systèmes nerveux de la résistance, les savoirs nocturnes qui hantent l'histoire, les formes de soin qui sous tendent l'organisation politique. Le récit s'attache à ce que le pouvoir fait aux corps - et ce que les corps font à la politique.
De l'intime au collectif, l'enquête avance en suivant des points de tension (l'indignation, le deuil, la mémoire, les liens) qui tracent les chemins par lesquels on tient, on se relève et on répond. La colère face à une injustice, le chagrin qui ne passe pas, l'impression que ce qui compte est effacé : ce qu'on ressent est aussi politique - et ces expériences ordinaires nous invitent à porter attention à ce qui, en chacun, résiste déjà.
Il ne s'agit pas d'opposer l'émotion à la raison, mais de penser les affects comme une mémoire vive, un point d'appui et de riposte face aux politiques de la cruauté. Au fil des pages, se dessinent les systèmes nerveux de la résistance, les savoirs nocturnes qui hantent l'histoire, les formes de soin qui sous tendent l'organisation politique. Le récit s'attache à ce que le pouvoir fait aux corps - et ce que les corps font à la politique.
De l'intime au collectif, l'enquête avance en suivant des points de tension (l'indignation, le deuil, la mémoire, les liens) qui tracent les chemins par lesquels on tient, on se relève et on répond. La colère face à une injustice, le chagrin qui ne passe pas, l'impression que ce qui compte est effacé : ce qu'on ressent est aussi politique - et ces expériences ordinaires nous invitent à porter attention à ce qui, en chacun, résiste déjà.