Reporter criminel

Par : James Ellroy

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  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.206 kg
  • Dimensions12,0 cm × 19,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7436-4514-4
  • EAN9782743645144
  • Date de parution03/10/2018
  • CollectionRivages/Noir
  • ÉditeurRivages
  • TraducteurJean-Paul Gratias

Résumé

Le 28 août 1963. le jour où Martin Luther King prononce son célèbre discours "I have a dream", deux jeunes filles sont sauvagement poignardées dans leur appartement de Manhattan. A l'issue d'une enquête bâclée et orientée, George Whitmore, un jeune Noir, est accusé du crime. Le 12 février 1976, l'acteur Sal Mineo est assassiné devant chez lui à Los Angeles. Le LAPD mène l'enquête. Toutes les théories sont avancées autour de ce meurtre.
mais la vérité est ailleurs. James Ellroy revient sur ces affaires dans deux reportages que lui avait commandés le Vanity Fair américain. Dans la grande tradition des écrivains journalistes, de Truman Capote à Nick Tosches, il réinvente le déroulement des enquêtes, en empruntant la voix des flics et en faisant résonner la sienne, inimitable.
Le 28 août 1963. le jour où Martin Luther King prononce son célèbre discours "I have a dream", deux jeunes filles sont sauvagement poignardées dans leur appartement de Manhattan. A l'issue d'une enquête bâclée et orientée, George Whitmore, un jeune Noir, est accusé du crime. Le 12 février 1976, l'acteur Sal Mineo est assassiné devant chez lui à Los Angeles. Le LAPD mène l'enquête. Toutes les théories sont avancées autour de ce meurtre.
mais la vérité est ailleurs. James Ellroy revient sur ces affaires dans deux reportages que lui avait commandés le Vanity Fair américain. Dans la grande tradition des écrivains journalistes, de Truman Capote à Nick Tosches, il réinvente le déroulement des enquêtes, en empruntant la voix des flics et en faisant résonner la sienne, inimitable.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
J'adore
Reporter criminel est un polar sanglant où on est plongé au cœur de l'enquête dès le début. Un livre pour deux histoires. Deux faits réels qui se sont déroulés aux États-Unis entre 1963 et 1978 et qui ont bouleversé la population. D'un côté, deux femmes sont retrouvées sauvagement assassinées dans un appartement à Manhattan, Janice Wylie et Emily Hoffert. Malgré tous les efforts fournis les inspecteurs chargés de cette affaire n'ont aucune piste ni preuve. C'est alors que commence un long périple pour retrouver cet assassin. Pas longtemps après une femme noire d'une cinquantaine d'années est retrouvée assassinée en pleine ruelle. Peu après une autre se fait agresser, mais, alerté par les cris, un policier en patrouille arrive sur les lieux. Elle pense reconnaître son agresseur : Gorge Whitmore âgé d'à peine 20 ans. Et si c'était lui ? Mais tant de rebondissements sont à venir. Malgré tout les enquêteurs sont au point mort de l'enquête et vont devoir redoubler d'effort pour connaître le fin mot de l'histoire. Qui a assassiné ces 3 femmes et agressé cette femme non loin du métro ? Dans la seconde histoire il s'agit de l'acteur Salvador Mineo 37 ans retrouvé mort non loin de son appartement à Holloway Drive. Des témoins oculaires disent avoir vu l'assassin et donnent leur version aux inspecteurs. Là aussi ça se corse. La vérité se cache ailleurs. Six inspecteurs mènent l'enquête. Est-ce un crime passionnel ? Une vengeance ? Ou tout autre chose ? La réponse ne tient qu'à un fil.
Reporter criminel est un polar sanglant où on est plongé au cœur de l'enquête dès le début. Un livre pour deux histoires. Deux faits réels qui se sont déroulés aux États-Unis entre 1963 et 1978 et qui ont bouleversé la population. D'un côté, deux femmes sont retrouvées sauvagement assassinées dans un appartement à Manhattan, Janice Wylie et Emily Hoffert. Malgré tous les efforts fournis les inspecteurs chargés de cette affaire n'ont aucune piste ni preuve. C'est alors que commence un long périple pour retrouver cet assassin. Pas longtemps après une femme noire d'une cinquantaine d'années est retrouvée assassinée en pleine ruelle. Peu après une autre se fait agresser, mais, alerté par les cris, un policier en patrouille arrive sur les lieux. Elle pense reconnaître son agresseur : Gorge Whitmore âgé d'à peine 20 ans. Et si c'était lui ? Mais tant de rebondissements sont à venir. Malgré tout les enquêteurs sont au point mort de l'enquête et vont devoir redoubler d'effort pour connaître le fin mot de l'histoire. Qui a assassiné ces 3 femmes et agressé cette femme non loin du métro ? Dans la seconde histoire il s'agit de l'acteur Salvador Mineo 37 ans retrouvé mort non loin de son appartement à Holloway Drive. Des témoins oculaires disent avoir vu l'assassin et donnent leur version aux inspecteurs. Là aussi ça se corse. La vérité se cache ailleurs. Six inspecteurs mènent l'enquête. Est-ce un crime passionnel ? Une vengeance ? Ou tout autre chose ? La réponse ne tient qu'à un fil.
Très bon.
Inutile de présenter James Ellroy. Incontournable auteur du roman noir pur et dur, nous lui devons des titres inoubliables, comme Le Dalhia Noir, et inimitables, comme Un Tueur sur la route. Le revoilà ici pour nous raconter deux enquêtes criminelles hors du commun. Ce qu’il fait une fois de plus de façon aussi percutante qu’originale. Ses personnages sont, comme à chaque fois, livrés à l’état brut, tant au point de vue psychologique que verbale. La marque de fabrique de cet auteur est un style percutant et incisif, presque cru, sans demi-mesure. Ses protagonistes ne sont pas vraiment des héros et ne se donnent pas la peine de nous faire croire le contraire. Humains avant tout, ils portent en eux presque autant de noirceur que les criminels qu’ils recherchent. Rédigé comme des rapports d’enquêtes, et pourtant aussi prenant qu’un roman, ce petit livre de 202 pages revient sur deux affaires, bien plus complexes qu’il n’y paraît. Grâce à sa verve habituelle et à l’efficacité de ses phrases directes et dépouillées, l’auteur nous emmène au cœur des années 60, puis 70. Entre scènes de crime et salles d’interrogatoire, cigarettes et verres de scotch, journaux papier et téléphones à cadran, le lecteur plonge dans ce monde en noir et blanc, sans jamais avoir l’impression d’évoluer dans une période révolue tant l’immersion est complète. On reste d’ailleurs un peu sonné, en reposant cette lecture, de se retrouver à notre époque, entouré de tant de couleurs et de technologies, comme si une petite partie de nous était restée là-bas. Je ne peux donc que conseiller fortement cette lecture qui sort complètement des sentiers battus et nous transporte au centre de ces enquêtes particulières en nous donnant la sensation de les vivre en même temps que ses personnages. Et les quelques photos en noir et blanc, découvertes au fil des pages ne font que renforcer un peu plus cette sensation. Addictif, inclassable et terriblement noir, ce petit ouvrage est impossible à lâcher avant la fin. Ellroy se place une nouvelle fois comme le roi du roman noir. Un conteur de talent qui, comme toujours, place l’atmosphère en première ligne. Et ça fonctionne à merveille ! Une lecture à ne pas rater.
Inutile de présenter James Ellroy. Incontournable auteur du roman noir pur et dur, nous lui devons des titres inoubliables, comme Le Dalhia Noir, et inimitables, comme Un Tueur sur la route. Le revoilà ici pour nous raconter deux enquêtes criminelles hors du commun. Ce qu’il fait une fois de plus de façon aussi percutante qu’originale. Ses personnages sont, comme à chaque fois, livrés à l’état brut, tant au point de vue psychologique que verbale. La marque de fabrique de cet auteur est un style percutant et incisif, presque cru, sans demi-mesure. Ses protagonistes ne sont pas vraiment des héros et ne se donnent pas la peine de nous faire croire le contraire. Humains avant tout, ils portent en eux presque autant de noirceur que les criminels qu’ils recherchent. Rédigé comme des rapports d’enquêtes, et pourtant aussi prenant qu’un roman, ce petit livre de 202 pages revient sur deux affaires, bien plus complexes qu’il n’y paraît. Grâce à sa verve habituelle et à l’efficacité de ses phrases directes et dépouillées, l’auteur nous emmène au cœur des années 60, puis 70. Entre scènes de crime et salles d’interrogatoire, cigarettes et verres de scotch, journaux papier et téléphones à cadran, le lecteur plonge dans ce monde en noir et blanc, sans jamais avoir l’impression d’évoluer dans une période révolue tant l’immersion est complète. On reste d’ailleurs un peu sonné, en reposant cette lecture, de se retrouver à notre époque, entouré de tant de couleurs et de technologies, comme si une petite partie de nous était restée là-bas. Je ne peux donc que conseiller fortement cette lecture qui sort complètement des sentiers battus et nous transporte au centre de ces enquêtes particulières en nous donnant la sensation de les vivre en même temps que ses personnages. Et les quelques photos en noir et blanc, découvertes au fil des pages ne font que renforcer un peu plus cette sensation. Addictif, inclassable et terriblement noir, ce petit ouvrage est impossible à lâcher avant la fin. Ellroy se place une nouvelle fois comme le roi du roman noir. Un conteur de talent qui, comme toujours, place l’atmosphère en première ligne. Et ça fonctionne à merveille ! Une lecture à ne pas rater.
James Ellroy
Né en 1948, Lee Eale Ellroy est plus connu sous le nom de James Ellroy. Auteur de polars, il a vécu une adolescence difficile, perturbée par l’assassinat de sa mère et des problèmes liés à l’alcool et la drogue. Ses années d’errance lui ont inspiré ses premiers romans, « Brown’s Requiem » et « Clandestin ». Sa carrière littéraire décolle progressivement avec la publication de la trilogie Lloyd Hopkins entre 1984 et 1986. Mais c’est en 1987 avec « Le Dahlia noir » qu’il va connaître la célébrité, s'inspirant d’un fait divers réel : l’assassinat en 1947 d’une jeune starlette de Los Angeles. Cette ville servira de décor à trois autres de ses romans : « Le Grand Nulle Part », « L.A. Confidential » et « White Jazz ». Toujours obsédé par l’assassinat de sa mère dont l’auteur n’a jamais été arrêté, il va essayer d’élucider lui-même ce meurtre 40 ans après les faits faisant le point sur sa propre existence avec « Ma part d'ombre » en 1996, complété en 2011 par « La malédiction Hilliker ».
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