Repentance et victimisation, la maladie auto-immune de l'Occident ?
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- Nombre de pages310
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.402 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-8159-6775-4
- EAN9782815967754
- Date de parution13/06/2025
- CollectionMonde en cours
- ÉditeurAube (Editions de l')
Résumé
L'Occident est triomphant au début du XXe siècle : révolution industrielle, grandes démocraties colonisatrices au nom de la civilisation. Mais il donne naissance aux pires régimes dictatoriaux (nazisme et communisme), se rend coupable de deux guerres mondiales (20 et 50 millions de morts), du génocide de la Shoah et de la répression des luttes de décolonisation... L'Occident est donc accusé, par ses victimes mais aussi par ses propres intellectuels, de tous les maux de la planète et fait pénitence.
Mais les autres civilisations ont-elles le même passif de massacres, exterminations, oppression culturelle... ? Et, si oui, ont-elles reconnu leur responsabilité et exprimé une repentance ? Selon Pierre Conesa, le comparatisme est la seule voie de sortie d'un débat très occidentalocentré qui permettra aux grandes démocraties, non pas de se dédouaner de leurs responsabilités, mais d'enfin comprendre les nouvelles règles de la vie internationale et de dépasser la crise de conscience qui la ronge et l'empêche d'avancer.
C'est ce à quoi il s'attelle dans cet ouvrage, en revenant sur des décennies de carnages...
Mais les autres civilisations ont-elles le même passif de massacres, exterminations, oppression culturelle... ? Et, si oui, ont-elles reconnu leur responsabilité et exprimé une repentance ? Selon Pierre Conesa, le comparatisme est la seule voie de sortie d'un débat très occidentalocentré qui permettra aux grandes démocraties, non pas de se dédouaner de leurs responsabilités, mais d'enfin comprendre les nouvelles règles de la vie internationale et de dépasser la crise de conscience qui la ronge et l'empêche d'avancer.
C'est ce à quoi il s'attelle dans cet ouvrage, en revenant sur des décennies de carnages...
L'Occident est triomphant au début du XXe siècle : révolution industrielle, grandes démocraties colonisatrices au nom de la civilisation. Mais il donne naissance aux pires régimes dictatoriaux (nazisme et communisme), se rend coupable de deux guerres mondiales (20 et 50 millions de morts), du génocide de la Shoah et de la répression des luttes de décolonisation... L'Occident est donc accusé, par ses victimes mais aussi par ses propres intellectuels, de tous les maux de la planète et fait pénitence.
Mais les autres civilisations ont-elles le même passif de massacres, exterminations, oppression culturelle... ? Et, si oui, ont-elles reconnu leur responsabilité et exprimé une repentance ? Selon Pierre Conesa, le comparatisme est la seule voie de sortie d'un débat très occidentalocentré qui permettra aux grandes démocraties, non pas de se dédouaner de leurs responsabilités, mais d'enfin comprendre les nouvelles règles de la vie internationale et de dépasser la crise de conscience qui la ronge et l'empêche d'avancer.
C'est ce à quoi il s'attelle dans cet ouvrage, en revenant sur des décennies de carnages...
Mais les autres civilisations ont-elles le même passif de massacres, exterminations, oppression culturelle... ? Et, si oui, ont-elles reconnu leur responsabilité et exprimé une repentance ? Selon Pierre Conesa, le comparatisme est la seule voie de sortie d'un débat très occidentalocentré qui permettra aux grandes démocraties, non pas de se dédouaner de leurs responsabilités, mais d'enfin comprendre les nouvelles règles de la vie internationale et de dépasser la crise de conscience qui la ronge et l'empêche d'avancer.
C'est ce à quoi il s'attelle dans cet ouvrage, en revenant sur des décennies de carnages...