Repenser l'Etat. Pour une nouvelle social-démocratie
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- Nombre de pages119
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-02-105429-3
- EAN9782021054293
- Date de parution15/09/2011
- CollectionLa République des idées
- ÉditeurSeuil
Résumé
Paradoxe de la crise actuelle : alors qu’elle remet radicalement en cause la toute-puissance des marchés et qu’elle relégitime l’intervention de l’État, les citoyens n’ont jamais eu aussi peu confiance en lui. Échec de l’État ? Nécessaire retour à la loi du marché ? En fait, le problème n’est pas tant de vouloir substituer « plus d’État » à « moins d’État », que de penser l’État autrement. Dans le contexte d’une économie mondialisée, ceci suppose de renforcer le rôle de la puissance publique, c’est-à-dire de théoriser un État social-démocrate, un État qui ne nie pas les forces du marché mais au contraire les stimule, les infléchit, les met au service d’une amélioration continue du bien-être de la société.
État régulateur, État investisseur, État garant du contrat social : telles sont les lignes de force du nouveau pacte que ce livre propose. L’invention d’un « plus d’État autrement » est une condition nécessaire pour atteindre une croissance forte, durable et juste, qui ne serait pas uniquement pensée en termes de PIB, mais dans son rapport avec tous les indicateurs de développement et de bien-être.
État régulateur, État investisseur, État garant du contrat social : telles sont les lignes de force du nouveau pacte que ce livre propose. L’invention d’un « plus d’État autrement » est une condition nécessaire pour atteindre une croissance forte, durable et juste, qui ne serait pas uniquement pensée en termes de PIB, mais dans son rapport avec tous les indicateurs de développement et de bien-être.
Paradoxe de la crise actuelle : alors qu’elle remet radicalement en cause la toute-puissance des marchés et qu’elle relégitime l’intervention de l’État, les citoyens n’ont jamais eu aussi peu confiance en lui. Échec de l’État ? Nécessaire retour à la loi du marché ? En fait, le problème n’est pas tant de vouloir substituer « plus d’État » à « moins d’État », que de penser l’État autrement. Dans le contexte d’une économie mondialisée, ceci suppose de renforcer le rôle de la puissance publique, c’est-à-dire de théoriser un État social-démocrate, un État qui ne nie pas les forces du marché mais au contraire les stimule, les infléchit, les met au service d’une amélioration continue du bien-être de la société.
État régulateur, État investisseur, État garant du contrat social : telles sont les lignes de force du nouveau pacte que ce livre propose. L’invention d’un « plus d’État autrement » est une condition nécessaire pour atteindre une croissance forte, durable et juste, qui ne serait pas uniquement pensée en termes de PIB, mais dans son rapport avec tous les indicateurs de développement et de bien-être.
État régulateur, État investisseur, État garant du contrat social : telles sont les lignes de force du nouveau pacte que ce livre propose. L’invention d’un « plus d’État autrement » est une condition nécessaire pour atteindre une croissance forte, durable et juste, qui ne serait pas uniquement pensée en termes de PIB, mais dans son rapport avec tous les indicateurs de développement et de bien-être.