Rendre le peuple heureux. Rapports et décrets de ventôse Institutions républicaines
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- Nombre de pages104
- PrésentationBroché
- Poids0.086 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-35872-051-9
- EAN9782358720519
- Date de parution15/10/2013
- ÉditeurFabrique (La)
- PréfacierPierre-Yves Glasser
- PréfacierAnne Quennedey
Résumé
" Ne souffrez point qu'il y ait un malheureux ni un pauvre dans l'Etat : ce n'est qu'à ce prix que vous aurez fait une révolution et une république véritable " : cette exhortation, c'est le grand thème de Saint-Just, aussi bien dans son rapport devant la Convention le 8 ventôse an II que dans son projet d'Institutions républicaines. Il attaque les Indulgents (nous dirions les modérés), " une secte politique qui joue tous les partis ; elle marche à pas lents.
Parlez-vous de terreur, elle vous parle de clémence ; devenez-vous cléments, elle vous vante la terreur ; elle veut être heureuse et jouir ". Et les décrets de ventôse prévoient que " les biens des personnes reconnues ennemies de la Révolution seront séquestrés au proft de la République " et distribués aux patriotes indigents. Dans le projet d'Institutions, Saint-Just cherche à refonder la société au profit des plus faibles - les pauvres, les enfants, les vieillards, les femmes -, à créer les conditions d'une égalité concrète, à lutter contre les formes d'oppression héritées du passé.
Car - on l'a un peu oublié de nos jours - " les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. "
Parlez-vous de terreur, elle vous parle de clémence ; devenez-vous cléments, elle vous vante la terreur ; elle veut être heureuse et jouir ". Et les décrets de ventôse prévoient que " les biens des personnes reconnues ennemies de la Révolution seront séquestrés au proft de la République " et distribués aux patriotes indigents. Dans le projet d'Institutions, Saint-Just cherche à refonder la société au profit des plus faibles - les pauvres, les enfants, les vieillards, les femmes -, à créer les conditions d'une égalité concrète, à lutter contre les formes d'oppression héritées du passé.
Car - on l'a un peu oublié de nos jours - " les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. "
" Ne souffrez point qu'il y ait un malheureux ni un pauvre dans l'Etat : ce n'est qu'à ce prix que vous aurez fait une révolution et une république véritable " : cette exhortation, c'est le grand thème de Saint-Just, aussi bien dans son rapport devant la Convention le 8 ventôse an II que dans son projet d'Institutions républicaines. Il attaque les Indulgents (nous dirions les modérés), " une secte politique qui joue tous les partis ; elle marche à pas lents.
Parlez-vous de terreur, elle vous parle de clémence ; devenez-vous cléments, elle vous vante la terreur ; elle veut être heureuse et jouir ". Et les décrets de ventôse prévoient que " les biens des personnes reconnues ennemies de la Révolution seront séquestrés au proft de la République " et distribués aux patriotes indigents. Dans le projet d'Institutions, Saint-Just cherche à refonder la société au profit des plus faibles - les pauvres, les enfants, les vieillards, les femmes -, à créer les conditions d'une égalité concrète, à lutter contre les formes d'oppression héritées du passé.
Car - on l'a un peu oublié de nos jours - " les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. "
Parlez-vous de terreur, elle vous parle de clémence ; devenez-vous cléments, elle vous vante la terreur ; elle veut être heureuse et jouir ". Et les décrets de ventôse prévoient que " les biens des personnes reconnues ennemies de la Révolution seront séquestrés au proft de la République " et distribués aux patriotes indigents. Dans le projet d'Institutions, Saint-Just cherche à refonder la société au profit des plus faibles - les pauvres, les enfants, les vieillards, les femmes -, à créer les conditions d'une égalité concrète, à lutter contre les formes d'oppression héritées du passé.
Car - on l'a un peu oublié de nos jours - " les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. "