Pierre Boulez, en 1958 : un jeune fauve qui étonne, qui dérange les milieux musicaux. Fondateur trois ans plus tôt du "Domaine Musical", il révèle un art nouveau, fait connaître l'Ecole de Vienne et les jeunes compositeurs du monde entier qui, comme lui, refusent un héritage académique. 1958, c'est aussi la dernière année qu'il passe en France avant de se fixer à Baden-Baden : exil volontaire qui se prolongera jusqu'à la fondation de l'I.R.CA.M.
Antoine Goléa : un critique hors du commun dont les réactions passionnées restent gravées dans toutes les mémoires ; mais aussi un étonnant "détecteur de talents", à la recherche du monde musical de demain et de ses animateurs. Boulez était l'une de ses découvertes. Leurs liens furent souvent orageux, mais aboutirent à ces Rencontres, véritable jalon de la musique contemporaine de l'après-guerre.
Pierre Boulez, en 1958 : un jeune fauve qui étonne, qui dérange les milieux musicaux. Fondateur trois ans plus tôt du "Domaine Musical", il révèle un art nouveau, fait connaître l'Ecole de Vienne et les jeunes compositeurs du monde entier qui, comme lui, refusent un héritage académique. 1958, c'est aussi la dernière année qu'il passe en France avant de se fixer à Baden-Baden : exil volontaire qui se prolongera jusqu'à la fondation de l'I.R.CA.M.
Antoine Goléa : un critique hors du commun dont les réactions passionnées restent gravées dans toutes les mémoires ; mais aussi un étonnant "détecteur de talents", à la recherche du monde musical de demain et de ses animateurs. Boulez était l'une de ses découvertes. Leurs liens furent souvent orageux, mais aboutirent à ces Rencontres, véritable jalon de la musique contemporaine de l'après-guerre.