Cette lecture, je l’attendais et j’en espérais disons quelque chose de plus fourni que lors du premier volet. Ce fut fait et globalement je puis dire déjà que j’ai plus apprécié cette lecture que la précédente.
Ce tome 2 permet d’aller plus loin dans l’intrigue qui se complexifie. Forcément, dans un premier volume, l’auteur essaie surtout de planter le décor, les personnages, l’ambiance générale et cela fait déjà beaucoup.
On entre plus dans le vif du sujet à savoir la place que chaque protagoniste occupe sur l’échiquier du pouvoir, ses influences, sa volonté… Rien n’est facile, ni aisé. Chaque geste, chaque décision peut être lourd de conséquence. Une leçon de vie s’il en est.
De nouvelles thématiques de moins en moins frivoles sont abordées. Logique, on quitte vraiment le monde de l’enfance et de la jeunesse innocente pour mettre les pieds au cœur des intrigues. Le sang coule. Même chose pour ce qui est de la guerre, de sa réalité, des prisonniers, de l’esclavage, des corvées… La douceur de vivre n’est pas pour tous, l’existence ne tient qu’à un fil.
Graphiquement, c’est toujours aussi bon. C’est un plaisir pour les yeux et beaucoup de détails seront plus appréciés après une seconde, voir une troisième lecture.
Le petit supplément reste très instructif pour les néophytes de la période, mais aussi pour les autres lecteurs car on n’est jamais à l’abris d’un trou de mémoire.
Cette lecture, je l’attendais et j’en espérais disons quelque chose de plus fourni que lors du premier volet. Ce fut fait et globalement je puis dire déjà que j’ai plus apprécié cette lecture que la précédente.
Ce tome 2 permet d’aller plus loin dans l’intrigue qui se complexifie. Forcément, dans un premier volume, l’auteur essaie surtout de planter le décor, les personnages, l’ambiance générale et cela fait déjà beaucoup.
On entre plus dans le vif du sujet à savoir la place que chaque protagoniste occupe sur l’échiquier du pouvoir, ses influences, sa volonté… Rien n’est facile, ni aisé. Chaque geste, chaque décision peut être lourd de conséquence. Une leçon de vie s’il en est.
De nouvelles thématiques de moins en moins frivoles sont abordées. Logique, on quitte vraiment le monde de l’enfance et de la jeunesse innocente pour mettre les pieds au cœur des intrigues. Le sang coule. Même chose pour ce qui est de la guerre, de sa réalité, des prisonniers, de l’esclavage, des corvées… La douceur de vivre n’est pas pour tous, l’existence ne tient qu’à un fil.
Graphiquement, c’est toujours aussi bon. C’est un plaisir pour les yeux et beaucoup de détails seront plus appréciés après une seconde, voir une troisième lecture.
Le petit supplément reste très instructif pour les néophytes de la période, mais aussi pour les autres lecteurs car on n’est jamais à l’abris d’un trou de mémoire.