Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"... J'apprendrai que Fil et Doudou, à la demande d'Androuschka, avaient envisagé de réagir. "Tu présentais des signes évidents de démence" me confiera...
Lire la suite
12,00 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 14 mai et le 17 mai
En librairie
Résumé
"... J'apprendrai que Fil et Doudou, à la demande d'Androuschka, avaient envisagé de réagir. "Tu présentais des signes évidents de démence" me confiera le vendeur de cercueils, pendant la mi-temps d'un match du Tournoi des VI nations. Ils avaient même projeté d'agresser physiquement Gustave, qu'ils soupçonnaient de m'avoir initié à Ludwig pour m'envoûter, et me manipuler afin d'obtenir ensuite Dieu sait quoi ! Le répertoire des perversions humaines dépassait leur imagination. Finalement, ils m'avaient offert l'intégrale de Salvatore Adanzo. Ce ne sera pas la seule fois, cet été-là, que j'épouserai la passion d'un autre, le seul moyen que j'ai trouvé pour pallier mon inappétence pour les plaisirs de la vie. " Dès le livre refermé, on a une grande envie d'aller arpenter les avenues de ce Cimetière de Paris-Pantin à la recherche des personnages que Marc Victor a su rendre si attachants, si émouvants dans leur désertitude, si proches de nous : Guillain le narrateur, la vieille Androuschka qui dialogue avec ses souvenirs, Fil le sourcilleux gardien des lieux, Doudou, le vendeur de cercueils aux fantasmes morbides et Gustave et Augustine de passage cet été-là dans ce lieu calme, fleuri, paisible (pas toujours d'ailleurs !) Il se dégage, de ce roman tragi-comique, au travers de scènes et de situations souvent burlesques, une mélancolie douce-amère.