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- Nombre de pages62
- PrésentationBroché
- Poids0.09 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,3 cm
- ISBN978-2-36868-259-3
- EAN9782368682593
- Date de parution03/04/2014
- ÉditeurStellamaris
Résumé
A travers sa " Poésie de l'instant ", ce sont différents regards sur le monde que nous livre Martine Maillard dans ce recueil, son 4ème qui fait suite au très coloré " Instants Secrets " (2012 ; même éditeur). Après une série de clichés vivants et variés sur des scènes de la vie quotidienne (" Par le monde "), elle ouvre dans " Songes " un regard intérieur pour explorer les méandres d'une conscience à demi éveillée, avant de terminer avec " Promenades " sur des évocations saisies lors de voyages (sites grecs) ou de visites (animaux du Zoo de Beauval).
Un triptyque souriant à mettre entre toutes les mains. ----- J'avais oublié le pouvoir des mots Je croyais qu'il suffisait de dire Mais non Les mots sont vivants Ils sont cette matière que l'on pétrit Que l'on façonne comme la glaise Et qu'on étale sur le papier Comme la couleur sur un tableau
Un triptyque souriant à mettre entre toutes les mains. ----- J'avais oublié le pouvoir des mots Je croyais qu'il suffisait de dire Mais non Les mots sont vivants Ils sont cette matière que l'on pétrit Que l'on façonne comme la glaise Et qu'on étale sur le papier Comme la couleur sur un tableau
A travers sa " Poésie de l'instant ", ce sont différents regards sur le monde que nous livre Martine Maillard dans ce recueil, son 4ème qui fait suite au très coloré " Instants Secrets " (2012 ; même éditeur). Après une série de clichés vivants et variés sur des scènes de la vie quotidienne (" Par le monde "), elle ouvre dans " Songes " un regard intérieur pour explorer les méandres d'une conscience à demi éveillée, avant de terminer avec " Promenades " sur des évocations saisies lors de voyages (sites grecs) ou de visites (animaux du Zoo de Beauval).
Un triptyque souriant à mettre entre toutes les mains. ----- J'avais oublié le pouvoir des mots Je croyais qu'il suffisait de dire Mais non Les mots sont vivants Ils sont cette matière que l'on pétrit Que l'on façonne comme la glaise Et qu'on étale sur le papier Comme la couleur sur un tableau
Un triptyque souriant à mettre entre toutes les mains. ----- J'avais oublié le pouvoir des mots Je croyais qu'il suffisait de dire Mais non Les mots sont vivants Ils sont cette matière que l'on pétrit Que l'on façonne comme la glaise Et qu'on étale sur le papier Comme la couleur sur un tableau
