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Réemploi, transitions et construction
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.001 kg
- Dimensions11,5 cm × 16,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-84377-244-3
- EAN9782843772443
- Date de parution05/09/2025
- ÉditeurMayer (Charles Léopold)/ECLM
Résumé
Comment réduire l'empreinte écologique dans le bâtiment ? Aujourd'hui, les acteurs de la construction doivent faire face à une équation insoluble. Car réaménager des locaux existants reste la variante la plus écologique mais souvent la plus difficile à choisir dans la mesure où, comme c'est le cas en Suisse, le secteur de la construction a un poids majeur dans l'économie en termes d'emplois et d'investissements.
A ce poids économique, il faut ajouter l'importance sociale : on construit pour loger ! Face à ces deux impératifs économiques et sociaux, force est de constater qu'il s'agit d'une industrie dévastatrice pour notre planète qui représente 28, 3 % de l'empreinte carbone suisse. Il devient donc urgent de valoriser les bâtiments existants et de mettre le réemploi des matériaux au centre des pratiques du secteur de la construction.
La gestion des risques et les normes actuelles peuvent s'avérer des freins à certaines innovations en matière de réemploi. Pour lever les blocages, il est nécessaire de travailler à refaçonner nos récits : mieux observer l'existant et les ressources disponibles, labelliser la durabilité, intégrer les risques dans nos conceptions, s'appuyer sur le local et la réputation. Dans un avenir idéal, il ne s'agit plus de construire de nouveaux bâtiments mais plutôt de mettre l'accent sur la rénovation et la maintenance de l'existant.
A ce poids économique, il faut ajouter l'importance sociale : on construit pour loger ! Face à ces deux impératifs économiques et sociaux, force est de constater qu'il s'agit d'une industrie dévastatrice pour notre planète qui représente 28, 3 % de l'empreinte carbone suisse. Il devient donc urgent de valoriser les bâtiments existants et de mettre le réemploi des matériaux au centre des pratiques du secteur de la construction.
La gestion des risques et les normes actuelles peuvent s'avérer des freins à certaines innovations en matière de réemploi. Pour lever les blocages, il est nécessaire de travailler à refaçonner nos récits : mieux observer l'existant et les ressources disponibles, labelliser la durabilité, intégrer les risques dans nos conceptions, s'appuyer sur le local et la réputation. Dans un avenir idéal, il ne s'agit plus de construire de nouveaux bâtiments mais plutôt de mettre l'accent sur la rénovation et la maintenance de l'existant.
Comment réduire l'empreinte écologique dans le bâtiment ? Aujourd'hui, les acteurs de la construction doivent faire face à une équation insoluble. Car réaménager des locaux existants reste la variante la plus écologique mais souvent la plus difficile à choisir dans la mesure où, comme c'est le cas en Suisse, le secteur de la construction a un poids majeur dans l'économie en termes d'emplois et d'investissements.
A ce poids économique, il faut ajouter l'importance sociale : on construit pour loger ! Face à ces deux impératifs économiques et sociaux, force est de constater qu'il s'agit d'une industrie dévastatrice pour notre planète qui représente 28, 3 % de l'empreinte carbone suisse. Il devient donc urgent de valoriser les bâtiments existants et de mettre le réemploi des matériaux au centre des pratiques du secteur de la construction.
La gestion des risques et les normes actuelles peuvent s'avérer des freins à certaines innovations en matière de réemploi. Pour lever les blocages, il est nécessaire de travailler à refaçonner nos récits : mieux observer l'existant et les ressources disponibles, labelliser la durabilité, intégrer les risques dans nos conceptions, s'appuyer sur le local et la réputation. Dans un avenir idéal, il ne s'agit plus de construire de nouveaux bâtiments mais plutôt de mettre l'accent sur la rénovation et la maintenance de l'existant.
A ce poids économique, il faut ajouter l'importance sociale : on construit pour loger ! Face à ces deux impératifs économiques et sociaux, force est de constater qu'il s'agit d'une industrie dévastatrice pour notre planète qui représente 28, 3 % de l'empreinte carbone suisse. Il devient donc urgent de valoriser les bâtiments existants et de mettre le réemploi des matériaux au centre des pratiques du secteur de la construction.
La gestion des risques et les normes actuelles peuvent s'avérer des freins à certaines innovations en matière de réemploi. Pour lever les blocages, il est nécessaire de travailler à refaçonner nos récits : mieux observer l'existant et les ressources disponibles, labelliser la durabilité, intégrer les risques dans nos conceptions, s'appuyer sur le local et la réputation. Dans un avenir idéal, il ne s'agit plus de construire de nouveaux bâtiments mais plutôt de mettre l'accent sur la rénovation et la maintenance de l'existant.