Recueil des mémoires du général Khaled Nezzar. Tome 2, La séquence politique

Par : Khaled Nezzar
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  • Nombre de pages384
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.375 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-9947-39-322-2
  • EAN9789947393222
  • Date de parution04/02/2019
  • ÉditeurChihab éditions

Résumé

J'ai cru de mon devoir de ne rien voiler des épisodes successifs dont la finalité était de mettre définitivement un peuple, un pays, sous la botte du régime qui n'avait jamais dissimulé ses intentions de restaurer un ordre médiéval. J'ai cru de mon devoir de ne rien voiler, ainsi que je l'ai toujours réitéré chaque fois que j'ai été invité à le faire, de dire la lourde responsabilité prise par des hommes de ce pays de barrer la route aux artisans du malheur.
Il ne pouvait se faire que des actions, d'une envergure à la mesure du destin de l'Algérie, s'accomplissent sans les inévitables dépassements enregistrés çà et là tout au long d'un conflit interne, opposant les forces de l'ordre aux initiateurs de la tragédie nationale. Dans les chapitres qui suivent, j'ai relaté tout ce qui a été porté à ma connaissance à ce sujet et démenti formellement les allégations brandies en toutes occasions pour jeter l'opprobre sur une armée qui n'a pas été avare de son sang pour préserver la République.
Je l'ai fait au nom de ce même devoir de vérité qui dicte de verser à l'Histoire tous les dossiers qui méritent d'y figurer, le moindre d'entre eux n'étant pas celui relatif à un combat grâce auquel un pays peut encore aujourd'hui faire valoir son droit à l'espoir.
J'ai cru de mon devoir de ne rien voiler des épisodes successifs dont la finalité était de mettre définitivement un peuple, un pays, sous la botte du régime qui n'avait jamais dissimulé ses intentions de restaurer un ordre médiéval. J'ai cru de mon devoir de ne rien voiler, ainsi que je l'ai toujours réitéré chaque fois que j'ai été invité à le faire, de dire la lourde responsabilité prise par des hommes de ce pays de barrer la route aux artisans du malheur.
Il ne pouvait se faire que des actions, d'une envergure à la mesure du destin de l'Algérie, s'accomplissent sans les inévitables dépassements enregistrés çà et là tout au long d'un conflit interne, opposant les forces de l'ordre aux initiateurs de la tragédie nationale. Dans les chapitres qui suivent, j'ai relaté tout ce qui a été porté à ma connaissance à ce sujet et démenti formellement les allégations brandies en toutes occasions pour jeter l'opprobre sur une armée qui n'a pas été avare de son sang pour préserver la République.
Je l'ai fait au nom de ce même devoir de vérité qui dicte de verser à l'Histoire tous les dossiers qui méritent d'y figurer, le moindre d'entre eux n'étant pas celui relatif à un combat grâce auquel un pays peut encore aujourd'hui faire valoir son droit à l'espoir.