Recueil des instructions données aux ambassadeurs et ministres de France des traités de Westphalie jusqu'à la Révolution française. Tome 31, Principauté de Liège
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- Nombre de pages479
- PrésentationRelié
- Poids1.025 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,8 cm × 4,0 cm
- ISBN2-11-089155-6
- EAN9782110891556
- Date de parution10/12/1998
- ÉditeurImprimerie Nationale
Résumé
Les relations entre la France et la principauté de Liège ont été, aux Temps modernes, le plus souvent chaleureuses, parfois tumultueuses, voire équivoques, jamais indifférentes. Les instructions aux ministres de France à Liège, des traités de Westphalie à la Révolution, apportent un éclairage neuf sur la politique française à l'égard des puissances situées sur la frontière nord du Royaume, qui fut toujours la plus menacée.
Lieu de passage idéal vers les Provinces-Unies et la Westphalie, cette principauté ecclésiastique dont les institutions sont représentatives d'un pays d'Etats d'Empire avec maintes singularités a été sillonnée depuis le Moyen Age par de multiples armées, et ses forts, qu'il s'agisse de ceux de Liège, Dinant, Huy ou Bouillon, ont fait l'objet des convoitises européennes aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Elle n'a pas échappé aux préoccupations de Versailles sur les plans politique, militaire (levées d'hommes, surveillance de l'industrie armurière, la première d'Europe), stratégique ou économique. A la politique d'expansion de Louis XIV succédera au XVIIIe siècle une doctrine de protectorat courtois que les diplomates français exécutèrent fidèlement jusqu'au rattachement de la Principauté à la France en 1795.
Ils furent aidés par bien des Liégeois, ces voisins " spirituels, civiles, accostables et hospitaliers ", " opiniastres " et " mutins ".
Lieu de passage idéal vers les Provinces-Unies et la Westphalie, cette principauté ecclésiastique dont les institutions sont représentatives d'un pays d'Etats d'Empire avec maintes singularités a été sillonnée depuis le Moyen Age par de multiples armées, et ses forts, qu'il s'agisse de ceux de Liège, Dinant, Huy ou Bouillon, ont fait l'objet des convoitises européennes aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Elle n'a pas échappé aux préoccupations de Versailles sur les plans politique, militaire (levées d'hommes, surveillance de l'industrie armurière, la première d'Europe), stratégique ou économique. A la politique d'expansion de Louis XIV succédera au XVIIIe siècle une doctrine de protectorat courtois que les diplomates français exécutèrent fidèlement jusqu'au rattachement de la Principauté à la France en 1795.
Ils furent aidés par bien des Liégeois, ces voisins " spirituels, civiles, accostables et hospitaliers ", " opiniastres " et " mutins ".
Les relations entre la France et la principauté de Liège ont été, aux Temps modernes, le plus souvent chaleureuses, parfois tumultueuses, voire équivoques, jamais indifférentes. Les instructions aux ministres de France à Liège, des traités de Westphalie à la Révolution, apportent un éclairage neuf sur la politique française à l'égard des puissances situées sur la frontière nord du Royaume, qui fut toujours la plus menacée.
Lieu de passage idéal vers les Provinces-Unies et la Westphalie, cette principauté ecclésiastique dont les institutions sont représentatives d'un pays d'Etats d'Empire avec maintes singularités a été sillonnée depuis le Moyen Age par de multiples armées, et ses forts, qu'il s'agisse de ceux de Liège, Dinant, Huy ou Bouillon, ont fait l'objet des convoitises européennes aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Elle n'a pas échappé aux préoccupations de Versailles sur les plans politique, militaire (levées d'hommes, surveillance de l'industrie armurière, la première d'Europe), stratégique ou économique. A la politique d'expansion de Louis XIV succédera au XVIIIe siècle une doctrine de protectorat courtois que les diplomates français exécutèrent fidèlement jusqu'au rattachement de la Principauté à la France en 1795.
Ils furent aidés par bien des Liégeois, ces voisins " spirituels, civiles, accostables et hospitaliers ", " opiniastres " et " mutins ".
Lieu de passage idéal vers les Provinces-Unies et la Westphalie, cette principauté ecclésiastique dont les institutions sont représentatives d'un pays d'Etats d'Empire avec maintes singularités a été sillonnée depuis le Moyen Age par de multiples armées, et ses forts, qu'il s'agisse de ceux de Liège, Dinant, Huy ou Bouillon, ont fait l'objet des convoitises européennes aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Elle n'a pas échappé aux préoccupations de Versailles sur les plans politique, militaire (levées d'hommes, surveillance de l'industrie armurière, la première d'Europe), stratégique ou économique. A la politique d'expansion de Louis XIV succédera au XVIIIe siècle une doctrine de protectorat courtois que les diplomates français exécutèrent fidèlement jusqu'au rattachement de la Principauté à la France en 1795.
Ils furent aidés par bien des Liégeois, ces voisins " spirituels, civiles, accostables et hospitaliers ", " opiniastres " et " mutins ".