Réconcilier l'entreprise et la société. L'entreprise a-t-elle une vocation politique ?

Par : Didier Livio

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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • Poids0.385 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-84211-191-5
  • EAN9782842111915
  • Date de parution29/05/2002
  • ÉditeurVillage Mondial

Résumé

Non, les politiques n'ont pas le monopole du civisme ! Et une entreprise est bien plus qu'une simple société de capitaux ! Pointant du doigt la schizophrénie ambiante - il est difficile d'agir de manière cohérente lorsque l'on est à la fois salarié, consommateur et citoyen -, Didier Livio en appelle à des " réformes de soi " des personnes, des entreprises et des pouvoirs publics. Constatant que l'entreprise est aujourd'hui l'institution qui prédomine, il voit en elle un levier essentiel et incontournable de refondation de notre société. En effet, pour lui, c'est en partant du cœur du système, de l'économie, que l'on aura les plus grandes chances d'engager une évolution de société, remettant du même coup l'entreprise à la place qu'elle n'aurait jamais dû quitter : au service de la vie en société et de l'intérêt général. Pour cela, alliant deux termes généralement antagonistes, l'auteur invite l'entreprise à devenir " politique ". Il fait ici de nombreuses propositions : véritable définition juridique de l'entreprise, refonte de la comptabilité des entreprises, conception de modes alternatifs de négociation sociale, nouvelle gestion des temps de vie, etc. Mettant judicieusement en cause les schémas établis, cet essai questionne avec une grande honnêteté les liens qui rattachent aujourd'hui l'entreprise à la société, aux hommes, aux citoyens.
Non, les politiques n'ont pas le monopole du civisme ! Et une entreprise est bien plus qu'une simple société de capitaux ! Pointant du doigt la schizophrénie ambiante - il est difficile d'agir de manière cohérente lorsque l'on est à la fois salarié, consommateur et citoyen -, Didier Livio en appelle à des " réformes de soi " des personnes, des entreprises et des pouvoirs publics. Constatant que l'entreprise est aujourd'hui l'institution qui prédomine, il voit en elle un levier essentiel et incontournable de refondation de notre société. En effet, pour lui, c'est en partant du cœur du système, de l'économie, que l'on aura les plus grandes chances d'engager une évolution de société, remettant du même coup l'entreprise à la place qu'elle n'aurait jamais dû quitter : au service de la vie en société et de l'intérêt général. Pour cela, alliant deux termes généralement antagonistes, l'auteur invite l'entreprise à devenir " politique ". Il fait ici de nombreuses propositions : véritable définition juridique de l'entreprise, refonte de la comptabilité des entreprises, conception de modes alternatifs de négociation sociale, nouvelle gestion des temps de vie, etc. Mettant judicieusement en cause les schémas établis, cet essai questionne avec une grande honnêteté les liens qui rattachent aujourd'hui l'entreprise à la société, aux hommes, aux citoyens.