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Pourquoi, dans un monde où l'on peut faire n'importe quoi et se déplacer à peu près n'importe comment, est-on obligé d'obéir aux diktats d'un récit, qui dirige nos actions et limite sans cesse nos mouvements ? Pourquoi surtout, puisque Le jeu nous accorde une certaine liberté et que Le récit, lui, impose des contraintes, l'expérience composite qu'offre San Andreas a semblé si grisante et peu contraignante à l'auteur de ce volume ?