RAPPORTS SECRETS SOVIETIQUES 1921 - 1991
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- Nombre de pages708
- PrésentationBroché
- Poids0.857 kg
- Dimensions15,3 cm × 24,0 cm × 4,1 cm
- ISBN2-07-073239-8
- EAN9782070732395
- Date de parution01/10/1994
- ÉditeurGallimard
Résumé
Nicolas Werth et Gaël Moullec ont su saisir l'instant, entre la fin de la fermeture absolue des archives et leur communication réglementée, pour accéder aux sources les plus fermées de l'Etat soviétique, les fonds des archives du Comité central, des Archives d'Etat, des Archives centrales du Parti. Dans la masse des documents qu'ils ont pu consulter et ont été autorisés à photocopier et à publier, ce sont les rapports internes de la bureaucratie soviétique sur ce que l'on pourrait appeler l'"état de l'opinion" qui leur ont paru les plus riches et les plus parlants ; les plus susceptibles de constituer un corpus cohérent ; les plus urgents aussi à mettre au jour pour saisir les relations entre l'Etat-Parti et la société russe, ses réactions ou son absence de réactions.
Adressés aux membres de l'appareil dirigeant, au Centre, à Moscou, c'est-à-dire au Comité central, au Soviet suprême, au gouvernement ou aux responsables des ministères, ces rapports proviennent principalement de la police politique, des instructeurs du Comité central envoyés en inspection dans les provinces, de l'appareil central du Parti et des ministères. Ils jettent une lumière neuve et crue sur les agitations ouvrières et les résistances du monde paysan, sur les rapports du pouvoir et de la religion, sur la connaissance des "affaires" et de l'étranger, sur la dissidence comme sur une masse d'événements plus ou moins connus ou occultés.
Adressés aux membres de l'appareil dirigeant, au Centre, à Moscou, c'est-à-dire au Comité central, au Soviet suprême, au gouvernement ou aux responsables des ministères, ces rapports proviennent principalement de la police politique, des instructeurs du Comité central envoyés en inspection dans les provinces, de l'appareil central du Parti et des ministères. Ils jettent une lumière neuve et crue sur les agitations ouvrières et les résistances du monde paysan, sur les rapports du pouvoir et de la religion, sur la connaissance des "affaires" et de l'étranger, sur la dissidence comme sur une masse d'événements plus ou moins connus ou occultés.
Nicolas Werth et Gaël Moullec ont su saisir l'instant, entre la fin de la fermeture absolue des archives et leur communication réglementée, pour accéder aux sources les plus fermées de l'Etat soviétique, les fonds des archives du Comité central, des Archives d'Etat, des Archives centrales du Parti. Dans la masse des documents qu'ils ont pu consulter et ont été autorisés à photocopier et à publier, ce sont les rapports internes de la bureaucratie soviétique sur ce que l'on pourrait appeler l'"état de l'opinion" qui leur ont paru les plus riches et les plus parlants ; les plus susceptibles de constituer un corpus cohérent ; les plus urgents aussi à mettre au jour pour saisir les relations entre l'Etat-Parti et la société russe, ses réactions ou son absence de réactions.
Adressés aux membres de l'appareil dirigeant, au Centre, à Moscou, c'est-à-dire au Comité central, au Soviet suprême, au gouvernement ou aux responsables des ministères, ces rapports proviennent principalement de la police politique, des instructeurs du Comité central envoyés en inspection dans les provinces, de l'appareil central du Parti et des ministères. Ils jettent une lumière neuve et crue sur les agitations ouvrières et les résistances du monde paysan, sur les rapports du pouvoir et de la religion, sur la connaissance des "affaires" et de l'étranger, sur la dissidence comme sur une masse d'événements plus ou moins connus ou occultés.
Adressés aux membres de l'appareil dirigeant, au Centre, à Moscou, c'est-à-dire au Comité central, au Soviet suprême, au gouvernement ou aux responsables des ministères, ces rapports proviennent principalement de la police politique, des instructeurs du Comité central envoyés en inspection dans les provinces, de l'appareil central du Parti et des ministères. Ils jettent une lumière neuve et crue sur les agitations ouvrières et les résistances du monde paysan, sur les rapports du pouvoir et de la religion, sur la connaissance des "affaires" et de l'étranger, sur la dissidence comme sur une masse d'événements plus ou moins connus ou occultés.









