Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Raymond Radiguet (1903-1923) était pressé de vivre et d'écrire. C'est le sort réservé à tous les météores. Il se dépêcha d'être l'amant de...
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Résumé
Raymond Radiguet (1903-1923) était pressé de vivre et d'écrire. C'est le sort réservé à tous les météores. Il se dépêcha d'être l'amant de son institutrice (à quatorze ans), de débuter dans le journalisme, de devenir le protégé de Jean Cocteau, de connaître le Tout-Paris littéraire et artistique des Années folles, et de terminer deux chefs-d'œuvre : Le Diable au corps et Le Bal du comte d'Orgel. Carrière fulgurante et scandaleuse : dans Le Diable au corps, le héros devient l'amant d'une jeune femme dont le mari était à la guerre en 1917-1918. L'élégance, la clarté, la perfection du style font ressortir encore davantage l'immoralité du sujet. Radiguet ne se souciait pas des modes littéraires. C'était un classique. En faisant le portrait du jeune Raymond, François Bott fait celui d'une époque : Radiguet a rencontré, fréquenté tous les " héros " des années vingt. De Morand à Stravinski et de Mlle Chanel à Picasso, ils avaient décidé qu'après les horreurs de la guerre, la vie serait une fête. Radiguet aurait eu cent ans le 18 juin 2003. C'est un âge inconcevable pour l'éternel jeune homme de notre littérature.