Quinze regards sur le corps livré

Par : Pierre Gardeil

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  • Nombre de pages313
  • PrésentationBroché
  • Poids0.48 kg
  • Dimensions14,7 cm × 21,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-940090-21-1
  • EAN9782940090211
  • Date de parution14/11/1997
  • ÉditeurAd Solem

Résumé

Le corps livré est la plus forte expression de l'Evangile. C'est le centre de la messe, et le centre de tout. Voilà pour le sujet, qui est sans borne. D'un regard nouveau, et profondément "traditionnel ", Pierre Gardeil considère le rapport de la Cène à la Croix. Il en voit cascader mille conséquences, sur l'essence de la Rédemption ou le fondement de l'expérience esthétique, les ministères réservés aux hommes ou le statut de la Sainte Ecriture, la nature du plaisir ou le principe de la liturgie catholique. Cette réflexion sur le salut précède elle-même une promenade parmi quelques chefs-d'œuvre, dont l'intime ressort n'est rien moins que notre grand mystère. A savoir : un étrange épisode "du côté de Guermantes ", entre Rachel et les poiriers en fleurs, le plus connu des sonnets de Baudelaire et le plus méconnu des films de Fellini, ou les terribles dissonances de Kadaré et de Klossowski, à résolution évangélique... René GIRARD, dans son avant-propos, parle d'un livre "intimidant de plénitude ". Et il ajoute : "cet ouvrage est aussi bien un traité savant sur l'eucharistie qu'une œuvre littéraire accessible à tous, écrite dans la langue la plus limpide, enchanteresse autant qu'édifiante... Aussi savoureux dans le sarcasme que sublime dans la louange, c'est à cette dernière que Gardeil se complaît, pour son bonheur et pour le nôtre. "
Le corps livré est la plus forte expression de l'Evangile. C'est le centre de la messe, et le centre de tout. Voilà pour le sujet, qui est sans borne. D'un regard nouveau, et profondément "traditionnel ", Pierre Gardeil considère le rapport de la Cène à la Croix. Il en voit cascader mille conséquences, sur l'essence de la Rédemption ou le fondement de l'expérience esthétique, les ministères réservés aux hommes ou le statut de la Sainte Ecriture, la nature du plaisir ou le principe de la liturgie catholique. Cette réflexion sur le salut précède elle-même une promenade parmi quelques chefs-d'œuvre, dont l'intime ressort n'est rien moins que notre grand mystère. A savoir : un étrange épisode "du côté de Guermantes ", entre Rachel et les poiriers en fleurs, le plus connu des sonnets de Baudelaire et le plus méconnu des films de Fellini, ou les terribles dissonances de Kadaré et de Klossowski, à résolution évangélique... René GIRARD, dans son avant-propos, parle d'un livre "intimidant de plénitude ". Et il ajoute : "cet ouvrage est aussi bien un traité savant sur l'eucharistie qu'une œuvre littéraire accessible à tous, écrite dans la langue la plus limpide, enchanteresse autant qu'édifiante... Aussi savoureux dans le sarcasme que sublime dans la louange, c'est à cette dernière que Gardeil se complaît, pour son bonheur et pour le nôtre. "