Qui mène la danse. La CIA et la guerre froide culturelle

Par : Frances Stonor Saunders

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  • Nombre de pages506
  • PrésentationBroché
  • Poids0.645 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-207-25416-X
  • EAN9782207254165
  • Date de parution04/06/2003
  • CollectionImpacts
  • ÉditeurDenoël

Résumé

1947 : l'Europe se relève du cataclysme de la Seconde Guerre mondiale ; la guerre froide peut commencer.
Qui mène la danse ? nous fait découvrir un aspect très peu connu de la lutte d'influence qu'ont alors menée avec acharnement les Etats-Unis et l'Union soviétique sur le terrain de la vie culturelle américaine et européenne. Frances Stonor Saunders met au jour le programme secret de propagande mis au point par la CIA, qui fit de la culture une véritable machine de guerre pour combattre le bloc soviétique et ses thuriféraires. De considérables moyens humains et financiers furent employés pour utiliser la littérature, la musique, l'art et la presse comme armes idéologiques privilégiées en faveur des Etats-Unis. Les manipulations furent plus ou moins licites, plus ou moins apparentes de Raymond Aron à Jackson Pollock, en passant par Arthur Koestler, Ignazio Silone et Igor Stravinski, de très nombreuses personnalités du monde littéraire et artistique ont été généreusement rémunérées, utilisées par les services secrets américains, soit directement par des officiers traitants, soit par l'intermédiaire de fondations. Cette vaste enquéte retrace l'histoire de l'élite intellectuelle en Europe et aux Etats-Unis à travers un théâtre d'ombres peuplé de personnages brillants, de fins manipulateurs et d'espions sans vergogne. Ce livre, qui a déjà fait couler beaucoup d'encre en Angleterre, en Espagne et en Allemagne, est un document exceptionnel sur l'histoire de la guerre froide.
1947 : l'Europe se relève du cataclysme de la Seconde Guerre mondiale ; la guerre froide peut commencer.
Qui mène la danse ? nous fait découvrir un aspect très peu connu de la lutte d'influence qu'ont alors menée avec acharnement les Etats-Unis et l'Union soviétique sur le terrain de la vie culturelle américaine et européenne. Frances Stonor Saunders met au jour le programme secret de propagande mis au point par la CIA, qui fit de la culture une véritable machine de guerre pour combattre le bloc soviétique et ses thuriféraires. De considérables moyens humains et financiers furent employés pour utiliser la littérature, la musique, l'art et la presse comme armes idéologiques privilégiées en faveur des Etats-Unis. Les manipulations furent plus ou moins licites, plus ou moins apparentes de Raymond Aron à Jackson Pollock, en passant par Arthur Koestler, Ignazio Silone et Igor Stravinski, de très nombreuses personnalités du monde littéraire et artistique ont été généreusement rémunérées, utilisées par les services secrets américains, soit directement par des officiers traitants, soit par l'intermédiaire de fondations. Cette vaste enquéte retrace l'histoire de l'élite intellectuelle en Europe et aux Etats-Unis à travers un théâtre d'ombres peuplé de personnages brillants, de fins manipulateurs et d'espions sans vergogne. Ce livre, qui a déjà fait couler beaucoup d'encre en Angleterre, en Espagne et en Allemagne, est un document exceptionnel sur l'histoire de la guerre froide.
La donna che sparò a Mussolini
Frances Stonor Saunders, Marzio Petrolo
E-book
11,99 €