Qui a fait tuer Amilcar Cabral ?

Par : José Pedro Castanheira
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  • Nombre de pages270
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.325 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-7475-4419-2
  • EAN9782747544191
  • Date de parution01/11/2003
  • CollectionEtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierRené Pélissier

Résumé

Amílcar Cabral a été assassiné juste devant chez lui en Guinée-Conakry, dans la nuit du 20 janvier 1973. On sait que le leader du PAIGC, Parti Africain pour l'Indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, chef principal des mouvements de libération des colonies portugaises, a été tué par un compagnon de lutte. Ce que l'on ignore, c'est qui, dans l'ombre, a organisé le crime. Est-ce une faction bissau-guinéenne noire qui n'acceptait pas la direction des Capverdiens et des Métis ? Quel a été le rôle de Sékou Touré, le despotique président de la République de Guinée qui ne supportait pas la renommée internationale de Cabral et ses liens à la culture portugaise ? Et celui de la PIDE/DGS — police politique de la dictature portugaise — qui avait tout fait pour éliminer le principal ennemi du régime ? Les militaires portugais, commandés par le général Spínola — futur président de la République portugaise — n'ont-ils pas été mêlés au complot ? Ce livre, écrit sur un ton journalistique, cherche à élucider ces interrogations.
Un hommage à une grande figure de l'Histoire de l'Afrique.
Amílcar Cabral a été assassiné juste devant chez lui en Guinée-Conakry, dans la nuit du 20 janvier 1973. On sait que le leader du PAIGC, Parti Africain pour l'Indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, chef principal des mouvements de libération des colonies portugaises, a été tué par un compagnon de lutte. Ce que l'on ignore, c'est qui, dans l'ombre, a organisé le crime. Est-ce une faction bissau-guinéenne noire qui n'acceptait pas la direction des Capverdiens et des Métis ? Quel a été le rôle de Sékou Touré, le despotique président de la République de Guinée qui ne supportait pas la renommée internationale de Cabral et ses liens à la culture portugaise ? Et celui de la PIDE/DGS — police politique de la dictature portugaise — qui avait tout fait pour éliminer le principal ennemi du régime ? Les militaires portugais, commandés par le général Spínola — futur président de la République portugaise — n'ont-ils pas été mêlés au complot ? Ce livre, écrit sur un ton journalistique, cherche à élucider ces interrogations.
Un hommage à une grande figure de l'Histoire de l'Afrique.