Questions de littérature légale. Du plagiat, de la supposition d'auteurs, des supercheries qui ont rapport aux livres
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.15 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7436-2288-6
- EAN9782743622886
- Date de parution16/11/2011
- CollectionRivages poche
- ÉditeurRivages
- PréfacierMaxime Rovere
Résumé
Il s’agit à la fois d’un traité et d’une plaisanterie. Avec un sérieux qui l’honore, Charles Nodier, génial conteur et bibliophile invétéré, établit ici la toute première typologie des fraudes littéraires : du plagiat jusqu’au changement de date, en passant par l’interpolation de passages apocryphes ou l’invention de fausses références, il isole et définit une à une des pratiques qu’Internet rend aujourd’hui omniprésentes.
Mais ces fraudes sont aussi des jeux, et le traité en donne lui-même l’exemple : avec une drôlerie irrésistible, Nodier (qui n’était pas en reste quant à ses propres fraudes) alimente sa réflexion à sa fantaisie, inventant d’une page à l’autre des fictions livresques dignes de Borgès.
Mais ces fraudes sont aussi des jeux, et le traité en donne lui-même l’exemple : avec une drôlerie irrésistible, Nodier (qui n’était pas en reste quant à ses propres fraudes) alimente sa réflexion à sa fantaisie, inventant d’une page à l’autre des fictions livresques dignes de Borgès.
Il s’agit à la fois d’un traité et d’une plaisanterie. Avec un sérieux qui l’honore, Charles Nodier, génial conteur et bibliophile invétéré, établit ici la toute première typologie des fraudes littéraires : du plagiat jusqu’au changement de date, en passant par l’interpolation de passages apocryphes ou l’invention de fausses références, il isole et définit une à une des pratiques qu’Internet rend aujourd’hui omniprésentes.
Mais ces fraudes sont aussi des jeux, et le traité en donne lui-même l’exemple : avec une drôlerie irrésistible, Nodier (qui n’était pas en reste quant à ses propres fraudes) alimente sa réflexion à sa fantaisie, inventant d’une page à l’autre des fictions livresques dignes de Borgès.
Mais ces fraudes sont aussi des jeux, et le traité en donne lui-même l’exemple : avec une drôlerie irrésistible, Nodier (qui n’était pas en reste quant à ses propres fraudes) alimente sa réflexion à sa fantaisie, inventant d’une page à l’autre des fictions livresques dignes de Borgès.