Quelques Afriques
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- Nombre de pages109
- PrésentationRelié
- Poids0.93 kg
- Dimensions24,0 cm × 30,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-35046-212-7
- EAN9782350462127
- Date de parution21/04/2011
- ÉditeurFiligranes (Editions)
Résumé
"Juste des images" dit Bernard Descamps des photographies qu'il prend au cours de ses voyages. Des images "reconnues". Des photos "rencontrées". Qu'est-ce à dire ? C'est dire que le photographe espère toujours croiser sur son chemin les images qu'il a déjà dans la tête. "Je voyage pour me rencontrer" dit-il encore. Aussi ne voyage-t-il pas n'importe où. Il a ses destinations de prédilection. Où Bernard Descamps se sent bien, c'est l'Afrique.
Partant à la rencontre des paysages et des hommes, il y côtoie les Berbères, les Peuls, les Bozos, les Pygmées, dont les photos ont bouleversé tous ceux qui les ont regardées. Ainsi, chez Descamps, la dilection est-elle dans le choix du cadrage, de la distance, entre le trop loin et le trop près, dans la hiérarchie des plans à l'intérieur de l'image. Dans le degré d'abstraction, dans la nature du travail graphique qu'il mettra dans son image.
Il décentre, il décale, il tronque. Contre-jour, flous, corps fragmentés, réel stylisé... Il ne bricole pas la réalité, il joue avec.
Partant à la rencontre des paysages et des hommes, il y côtoie les Berbères, les Peuls, les Bozos, les Pygmées, dont les photos ont bouleversé tous ceux qui les ont regardées. Ainsi, chez Descamps, la dilection est-elle dans le choix du cadrage, de la distance, entre le trop loin et le trop près, dans la hiérarchie des plans à l'intérieur de l'image. Dans le degré d'abstraction, dans la nature du travail graphique qu'il mettra dans son image.
Il décentre, il décale, il tronque. Contre-jour, flous, corps fragmentés, réel stylisé... Il ne bricole pas la réalité, il joue avec.
"Juste des images" dit Bernard Descamps des photographies qu'il prend au cours de ses voyages. Des images "reconnues". Des photos "rencontrées". Qu'est-ce à dire ? C'est dire que le photographe espère toujours croiser sur son chemin les images qu'il a déjà dans la tête. "Je voyage pour me rencontrer" dit-il encore. Aussi ne voyage-t-il pas n'importe où. Il a ses destinations de prédilection. Où Bernard Descamps se sent bien, c'est l'Afrique.
Partant à la rencontre des paysages et des hommes, il y côtoie les Berbères, les Peuls, les Bozos, les Pygmées, dont les photos ont bouleversé tous ceux qui les ont regardées. Ainsi, chez Descamps, la dilection est-elle dans le choix du cadrage, de la distance, entre le trop loin et le trop près, dans la hiérarchie des plans à l'intérieur de l'image. Dans le degré d'abstraction, dans la nature du travail graphique qu'il mettra dans son image.
Il décentre, il décale, il tronque. Contre-jour, flous, corps fragmentés, réel stylisé... Il ne bricole pas la réalité, il joue avec.
Partant à la rencontre des paysages et des hommes, il y côtoie les Berbères, les Peuls, les Bozos, les Pygmées, dont les photos ont bouleversé tous ceux qui les ont regardées. Ainsi, chez Descamps, la dilection est-elle dans le choix du cadrage, de la distance, entre le trop loin et le trop près, dans la hiérarchie des plans à l'intérieur de l'image. Dans le degré d'abstraction, dans la nature du travail graphique qu'il mettra dans son image.
Il décentre, il décale, il tronque. Contre-jour, flous, corps fragmentés, réel stylisé... Il ne bricole pas la réalité, il joue avec.