Quel avenir pour le cerf, le chevreuil et le sanglier ?

Par : Roger Fichant

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  • Nombre de pages175
  • PrésentationBroché
  • Poids0.406 kg
  • Dimensions16,7 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7592-1918-6
  • EAN9782759219186
  • Date de parution23/05/2013
  • CollectionCarnets de sciences
  • ÉditeurQuae éditions
  • PréfacierJean-Claude Strebler

Résumé

Le fait est là : les populations de cerfs, de chevreuils et de sangliers explosent dans la plupart des pays européens et génèrent des difficultés de gestion dans les villes et en milieu rural. Depuis que l'homme modèle le paysage, il parle de dégâts de la faune sauvage et de populations animales surabondantes qu'il faut réguler pour contenter les agriculteurs et les sylviculteurs. Mais qui commet les dégâts : l'homme qui détériore l'environnement naturel de la faune dans son intérêt économique ou bien la faune qui prélève les productions humaines pour survivre ? Le sanglier par exemple, pour qui les terres agricoles n'étaient pas un habitat naturel, y rencontre aujourd'hui le refuge, la quiétude et la nourriture.
Roger Fichant nous explique que l'équilibre entre les Ongulés et les milieux forestier ou agricole repose sur la connaissance du comportement animal et sur la régulation par la chasse. Toutefois, depuis la réapparition des grands prédateurs naturels, cette régulation doit prendre en considération la mortalité naturelle due à la présence du loup, du lynx et de l'ours. La société doit déterminer la densité de prédateurs qu'elle peut tolérer...
La solution ne résiderait-elle pas avant tout dans la concertation ? L'auteur recommande ainsi une approche intégrée centrée autour des souhaits des usagers de la nature impliquant des mesures acceptées et proposées par tous : autorités locales et nationales, gestionnaires terriens, associations de chasse et de protection de l'environnement, membres de la communauté scientifique. La grande connaissance de terrain de l'auteur fait de cet ouvrage la référence en matière de gestion du grand gibier et intéressera tous ceux, chasseurs, forestiers, agriculteurs et passionnés, qui recherchent l'équilibre entre la grande faune et son milieu.
À nous de faire en sorte de réfléchir en concertation et bonne intelligence, dans l'intérêt de tous : l'homme et l'animal.
Le fait est là : les populations de cerfs, de chevreuils et de sangliers explosent dans la plupart des pays européens et génèrent des difficultés de gestion dans les villes et en milieu rural. Depuis que l'homme modèle le paysage, il parle de dégâts de la faune sauvage et de populations animales surabondantes qu'il faut réguler pour contenter les agriculteurs et les sylviculteurs. Mais qui commet les dégâts : l'homme qui détériore l'environnement naturel de la faune dans son intérêt économique ou bien la faune qui prélève les productions humaines pour survivre ? Le sanglier par exemple, pour qui les terres agricoles n'étaient pas un habitat naturel, y rencontre aujourd'hui le refuge, la quiétude et la nourriture.
Roger Fichant nous explique que l'équilibre entre les Ongulés et les milieux forestier ou agricole repose sur la connaissance du comportement animal et sur la régulation par la chasse. Toutefois, depuis la réapparition des grands prédateurs naturels, cette régulation doit prendre en considération la mortalité naturelle due à la présence du loup, du lynx et de l'ours. La société doit déterminer la densité de prédateurs qu'elle peut tolérer...
La solution ne résiderait-elle pas avant tout dans la concertation ? L'auteur recommande ainsi une approche intégrée centrée autour des souhaits des usagers de la nature impliquant des mesures acceptées et proposées par tous : autorités locales et nationales, gestionnaires terriens, associations de chasse et de protection de l'environnement, membres de la communauté scientifique. La grande connaissance de terrain de l'auteur fait de cet ouvrage la référence en matière de gestion du grand gibier et intéressera tous ceux, chasseurs, forestiers, agriculteurs et passionnés, qui recherchent l'équilibre entre la grande faune et son milieu.
À nous de faire en sorte de réfléchir en concertation et bonne intelligence, dans l'intérêt de tous : l'homme et l'animal.