À paraître

Que s'obscurcissent le soleil et la lumière

Par : Frédéric Paulin
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  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.464 kg
  • Dimensions14,2 cm × 20,2 cm × 3,2 cm
  • ISBN978-2-38246-137-2
  • EAN9782382461372
  • Date de parution11/09/2025
  • CollectionAgullo Noir
  • ÉditeurAgullo

Résumé

" Si la guerre ne finit jamais, qui donc verra la fin des combats ? Qui donc verra la fin des larmes des veuves, de la détresse des orphelins, de la souffrance des pères ? Qui donc, si ce n'est ceux qui sont morts à la guerre ? " Fin d'année 1986, Paris est à feu et à sang. Il faut alors trouver rapidement un coupable pour calmer l'opinion publique. La piste Abdallah, bien que hautement improbable, est choisie, car la raison d'Etat prévaut souvent sur la vérité, comme le commissaire Caillaux ne le sait que trop bien.
A l'international, Michel Nada a fort à faire car les enjeux sont colossaux : la crise des otages qui dure depuis plusieurs années maintenant vient se mêler de manière toujours plus cynique à la course à la présidence de 1988 entre Mitterrand et Chirac. Au Liban, la guerre reprend de plus belle après une brève accalmie, opposant cette fois les chrétiens entre eux, en plus de la lutte fratricide entre chiites, et le pays se retrouve bientôt avec deux gouvernements.
Cette macabre comédie cessera-t-elle un jour ? Dans le dernier volet de sa trilogie libanaise, Frédéric Paulin nous emmène jusqu'aux derniers jours d'un conflit long de quinze ans et qui, comme il avait débuté, s'achève dans le chaos, avec, comme toujours, le peuple libanais pour seul véritable perdant.
" Si la guerre ne finit jamais, qui donc verra la fin des combats ? Qui donc verra la fin des larmes des veuves, de la détresse des orphelins, de la souffrance des pères ? Qui donc, si ce n'est ceux qui sont morts à la guerre ? " Fin d'année 1986, Paris est à feu et à sang. Il faut alors trouver rapidement un coupable pour calmer l'opinion publique. La piste Abdallah, bien que hautement improbable, est choisie, car la raison d'Etat prévaut souvent sur la vérité, comme le commissaire Caillaux ne le sait que trop bien.
A l'international, Michel Nada a fort à faire car les enjeux sont colossaux : la crise des otages qui dure depuis plusieurs années maintenant vient se mêler de manière toujours plus cynique à la course à la présidence de 1988 entre Mitterrand et Chirac. Au Liban, la guerre reprend de plus belle après une brève accalmie, opposant cette fois les chrétiens entre eux, en plus de la lutte fratricide entre chiites, et le pays se retrouve bientôt avec deux gouvernements.
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