Que reste-t-il de la science ?. Le vélo, le mur et le citoyen

Par : Jacques Testart
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages196
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.113 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-7011-9713-5
  • EAN9782701197135
  • Date de parution21/01/2016
  • CollectionAlpha
  • ÉditeurBelin

Résumé

Jacques Testart livre ici une analyse critique de la science et des technosciences, ainsi que des éléments de réflexion sur le citoyen et la démocratie. Les innovations s’accélèrent et sont imposées, souvent contre l’avis des populations, grâce à des arguments variés : la modernité (on n’arrête pas le progrès), la scientificité (tout est sous contrôle), le bonheur (ça va améliorer la vie), la nécessité (on risque d’être en retard)...
L’auteur démonte ici cette stratégie qu’il considère comme largement mystificatrice. A travers l’exemple des OGM, et d’autres comme le tri eugénique des embryons ou les nanotechnologies, c’est tout le problème du «pilotage» de la recherche publique qui est posé. Des choix extérieurs aux laboratoires, réalisés en l’absence de tout débat démocratique, conduisent à privilégier certaines voies et à orienter le futur des hommes et la survie de la planète, au détriment de la production de nouvelles connaissances.
Pour Jacques Testart, si le débat réellement démocratique n’a pas lieu, alors l’innovation mercantile, juchée sur le vélo du progrès compétitif, avec dans sa roue le citoyen muselé, continuera de pédaler jusqu’à s’écraser contre le mur des illusions.
Jacques Testart livre ici une analyse critique de la science et des technosciences, ainsi que des éléments de réflexion sur le citoyen et la démocratie. Les innovations s’accélèrent et sont imposées, souvent contre l’avis des populations, grâce à des arguments variés : la modernité (on n’arrête pas le progrès), la scientificité (tout est sous contrôle), le bonheur (ça va améliorer la vie), la nécessité (on risque d’être en retard)...
L’auteur démonte ici cette stratégie qu’il considère comme largement mystificatrice. A travers l’exemple des OGM, et d’autres comme le tri eugénique des embryons ou les nanotechnologies, c’est tout le problème du «pilotage» de la recherche publique qui est posé. Des choix extérieurs aux laboratoires, réalisés en l’absence de tout débat démocratique, conduisent à privilégier certaines voies et à orienter le futur des hommes et la survie de la planète, au détriment de la production de nouvelles connaissances.
Pour Jacques Testart, si le débat réellement démocratique n’a pas lieu, alors l’innovation mercantile, juchée sur le vélo du progrès compétitif, avec dans sa roue le citoyen muselé, continuera de pédaler jusqu’à s’écraser contre le mur des illusions.