Quand philosopher c'est vivre. Tome 3, L'heur de philosopher la nuit et le jour
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- Nombre de pages374
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.446 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-343-17191-3
- EAN9782343171913
- Date de parution18/04/2019
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Voici, enfin, le tome 3 de L'heur de philosopher la nuit et le jour, intitulé Quand philosopher c'est vivre, qui était fort attendu après que les deux premiers volumes eurent fait la "Une" de certains organes de presse en 2018. Comme un laboureur infatigable qui, à chaque passage, creuse un peu plus le sillon, rendant le sol plus meuble, Djibril Samb revisite, avec une lucidité renouvelée, les divers thèmes et concepts de la philosophie et ne cesse de les affiner au fil des pages.
On notera cependant, cette fois, qu'il entreprend un véritable corps à corps avec l'icône de la philosophie allemande et mondiale, Hegel pour ne pas le nommer. "Le penseur qui revisite, écrit-il, l'histoire intellectuelle du monde (...) ne peut pas ne pas rencontrer, sur son chemin, Hegel. Il ne peut manquer de s'interroger sur ce que le citoyen de Stuttgart dit de la région où il vit - son poste d'observation - et, à partir de là, d'engager le dialogue avec lui, car, il faut le savoir, tout philosophe, quelle que soit son époque, porte l'entière responsabilité de ses positions à quelque moment qu'on les considère - présent, passé ou futur." La confrontation est rude et sans concession...
Le philosophe de l'insubordination s'appuie, comme toujours, sur son humanisme radical, sans condition ni concession.
On notera cependant, cette fois, qu'il entreprend un véritable corps à corps avec l'icône de la philosophie allemande et mondiale, Hegel pour ne pas le nommer. "Le penseur qui revisite, écrit-il, l'histoire intellectuelle du monde (...) ne peut pas ne pas rencontrer, sur son chemin, Hegel. Il ne peut manquer de s'interroger sur ce que le citoyen de Stuttgart dit de la région où il vit - son poste d'observation - et, à partir de là, d'engager le dialogue avec lui, car, il faut le savoir, tout philosophe, quelle que soit son époque, porte l'entière responsabilité de ses positions à quelque moment qu'on les considère - présent, passé ou futur." La confrontation est rude et sans concession...
Le philosophe de l'insubordination s'appuie, comme toujours, sur son humanisme radical, sans condition ni concession.
Voici, enfin, le tome 3 de L'heur de philosopher la nuit et le jour, intitulé Quand philosopher c'est vivre, qui était fort attendu après que les deux premiers volumes eurent fait la "Une" de certains organes de presse en 2018. Comme un laboureur infatigable qui, à chaque passage, creuse un peu plus le sillon, rendant le sol plus meuble, Djibril Samb revisite, avec une lucidité renouvelée, les divers thèmes et concepts de la philosophie et ne cesse de les affiner au fil des pages.
On notera cependant, cette fois, qu'il entreprend un véritable corps à corps avec l'icône de la philosophie allemande et mondiale, Hegel pour ne pas le nommer. "Le penseur qui revisite, écrit-il, l'histoire intellectuelle du monde (...) ne peut pas ne pas rencontrer, sur son chemin, Hegel. Il ne peut manquer de s'interroger sur ce que le citoyen de Stuttgart dit de la région où il vit - son poste d'observation - et, à partir de là, d'engager le dialogue avec lui, car, il faut le savoir, tout philosophe, quelle que soit son époque, porte l'entière responsabilité de ses positions à quelque moment qu'on les considère - présent, passé ou futur." La confrontation est rude et sans concession...
Le philosophe de l'insubordination s'appuie, comme toujours, sur son humanisme radical, sans condition ni concession.
On notera cependant, cette fois, qu'il entreprend un véritable corps à corps avec l'icône de la philosophie allemande et mondiale, Hegel pour ne pas le nommer. "Le penseur qui revisite, écrit-il, l'histoire intellectuelle du monde (...) ne peut pas ne pas rencontrer, sur son chemin, Hegel. Il ne peut manquer de s'interroger sur ce que le citoyen de Stuttgart dit de la région où il vit - son poste d'observation - et, à partir de là, d'engager le dialogue avec lui, car, il faut le savoir, tout philosophe, quelle que soit son époque, porte l'entière responsabilité de ses positions à quelque moment qu'on les considère - présent, passé ou futur." La confrontation est rude et sans concession...
Le philosophe de l'insubordination s'appuie, comme toujours, sur son humanisme radical, sans condition ni concession.