Quand la mort devient le seul espoir. Le retour à la vie est un enfer

Par : Mamadou Badara Seck
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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.156 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-343-23741-1
  • EAN9782343237411
  • Date de parution08/09/2021
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le miracle a eu lieu ! La bouteille à la mer de Badou à Birima, son xarit, en wolof, une des composantes de la mosaïque que constitue son être social, est parvenue à destination. Le destin souverain l'a tractée jusqu'aux mains des tortionnaires sanguinaires de Birima et la fonction magique de l'espérance a opéré ; la missive a ému les coeurs sans aménité de ses geôliers qui l'ont rapatrié vers les siens.
Birima est de retour... en enfer ! En un tournemain, la réalité avait déparé le réel des oripeaux dans lesquels l'éloignement l'avait serti et assassiné la nostalgie qui, forcément, étreint l'exilé les soirs d'insomnie. Comme une mauvaise angine, le désenchantement lui avait sauté à la gorge et l'avait replongé dans les affres de ce monde sien, obligé d'être là en attendant que survienne l'anéantissement.
Et là, assis sur un des "bancs de désarroi" de la place de Sousse, il refait le monde avec un semblable de hasard qui a eu l'heur de réaliser ses rêves renoncés de "Barça". En attendant Badou, leurs monologues se répondent et s'enroulent autour de la même lancinante interrogation : Pourquoi les autres s'en sortent-ils et pas nous ?
Le miracle a eu lieu ! La bouteille à la mer de Badou à Birima, son xarit, en wolof, une des composantes de la mosaïque que constitue son être social, est parvenue à destination. Le destin souverain l'a tractée jusqu'aux mains des tortionnaires sanguinaires de Birima et la fonction magique de l'espérance a opéré ; la missive a ému les coeurs sans aménité de ses geôliers qui l'ont rapatrié vers les siens.
Birima est de retour... en enfer ! En un tournemain, la réalité avait déparé le réel des oripeaux dans lesquels l'éloignement l'avait serti et assassiné la nostalgie qui, forcément, étreint l'exilé les soirs d'insomnie. Comme une mauvaise angine, le désenchantement lui avait sauté à la gorge et l'avait replongé dans les affres de ce monde sien, obligé d'être là en attendant que survienne l'anéantissement.
Et là, assis sur un des "bancs de désarroi" de la place de Sousse, il refait le monde avec un semblable de hasard qui a eu l'heur de réaliser ses rêves renoncés de "Barça". En attendant Badou, leurs monologues se répondent et s'enroulent autour de la même lancinante interrogation : Pourquoi les autres s'en sortent-ils et pas nous ?