Né le 19 juin 1944 au Brésil dans une famille proche des milieux culturels et artistiques de Rio de Janeiro, Chico Buarque est un artiste aux talents multiples. Il est musicien, chanteur, écrivain ; il compose des musiques de film, écrit des poèmes, des pièces de théâtre, des nouvelles. Toute sa production n'est pas traduite en français, mais on peut tout de même découvrir "Estorvo" (1991) devenu "Embrouille" en français et adapté pour le cinéma en 2000, "Court-circuit" (1997), "Budapest" (2005) ou "Quand je sortirai d'ici" (2012). Homme engagé, il milite ardemment pour une installation pérenne de la démocratie en Amérique latine.
Quand je sortirai d'ici
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- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.117 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,2 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-07-045199-9
- EAN9782070451999
- Date de parution06/06/2013
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
- TraducteurGeneviève Leibrich
Résumé
"Quand je mourrai, mon chalet disparaîtra avec moi, pour céder la place à un immeuble. Il aura été la dernière maison de Copacabana qui deviendra alors semblable à l'île de Manhattan, hérissée de gratte-ciel. Mais auparavant Copacabana ressemblera à Chicago, avec des flics et des gangsters qui échangeront des coups de feu dans les rues, et même cela ne m'empêchera pas de dormir avec les portes ouvertes.
Peu importe qu'entrent chez moi des galvaudeux et des mendiants et des estropiés et des lépreux et des drogués et des fous, pourvu qu'ils me laissent dormir longtemps". Prisonnier de son lit d'hôpital, Eulálio Montenegro d'Assumpção se confronte à sa vie passée. Né au début du XX ? siècle, il raconte l'évolution du Brésil à travers les figures de la dynastie Assumpção. Des fantômes familiers qui ont hanté son existence marquée par le sexe, la jalousie, le déclassement.
Peu importe qu'entrent chez moi des galvaudeux et des mendiants et des estropiés et des lépreux et des drogués et des fous, pourvu qu'ils me laissent dormir longtemps". Prisonnier de son lit d'hôpital, Eulálio Montenegro d'Assumpção se confronte à sa vie passée. Né au début du XX ? siècle, il raconte l'évolution du Brésil à travers les figures de la dynastie Assumpção. Des fantômes familiers qui ont hanté son existence marquée par le sexe, la jalousie, le déclassement.
"Quand je mourrai, mon chalet disparaîtra avec moi, pour céder la place à un immeuble. Il aura été la dernière maison de Copacabana qui deviendra alors semblable à l'île de Manhattan, hérissée de gratte-ciel. Mais auparavant Copacabana ressemblera à Chicago, avec des flics et des gangsters qui échangeront des coups de feu dans les rues, et même cela ne m'empêchera pas de dormir avec les portes ouvertes.
Peu importe qu'entrent chez moi des galvaudeux et des mendiants et des estropiés et des lépreux et des drogués et des fous, pourvu qu'ils me laissent dormir longtemps". Prisonnier de son lit d'hôpital, Eulálio Montenegro d'Assumpção se confronte à sa vie passée. Né au début du XX ? siècle, il raconte l'évolution du Brésil à travers les figures de la dynastie Assumpção. Des fantômes familiers qui ont hanté son existence marquée par le sexe, la jalousie, le déclassement.
Peu importe qu'entrent chez moi des galvaudeux et des mendiants et des estropiés et des lépreux et des drogués et des fous, pourvu qu'ils me laissent dormir longtemps". Prisonnier de son lit d'hôpital, Eulálio Montenegro d'Assumpção se confronte à sa vie passée. Né au début du XX ? siècle, il raconte l'évolution du Brésil à travers les figures de la dynastie Assumpção. Des fantômes familiers qui ont hanté son existence marquée par le sexe, la jalousie, le déclassement.