Quand Dieu s'efface...

Par : Vincent Flamand

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  • Nombre de pages107
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.145 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-87356-835-1
  • EAN9782873568351
  • Date de parution14/11/2019
  • CollectionBéthanie
  • ÉditeurFidélité
  • PréfacierEmmanuel Carrère

Résumé

L'auteur décrit ici de la façon la plus simple ce qu'est pour lui la folle révélation d'une tendresse inconditionnelle nommée christianisme, et comment, perdant petit à petit ses jugements et condamnations sans appel sur lui-même et sur les autres, il a l'impression et le désir d'en vivre. Une conférence, quelque part. Un homme d'une bonne quarantaine d'années, philosophe, théologien, ancien clerc, maintenant enseignant, tente de répondre à la question " qu'est-ce qu'être chrétien aujourd'hui ? ".
Energique, tout à son affaire, il a pourtant l'impression de ne faire que balbutier, de se heurter à l'indicible, à la perte de repères qu'est de plus en plus devenue sa foi. Dans l'assistance, un homme ne le quittera pas des yeux ce soir-là. Il partira à la pause, avant les questions, sans qu'un mot soit échangé. Intrigué, interloqué, le conférencier cherchera en vain à savoir qui est cet individu dont l'attention semblait porteuse tour à tour d'un appel, d'une blessure, d'une joie et d'un refus.
Il se souviendra juste l'avoir entendu prononcer son nom : Rodolphe Henri. Rentré chez lui, notre homme, aujourd'hui marié et père de famille, se laissera porter par le poids de ce regard, aux reflets multiples, aux attentes inexprimables et variées. Et, à ce Rodolphe Henri, dont il ne connait que l'énigme d'une étrange rencontre sans mots, il tâchera d'écrire de la façon la plus simple ce qu'est pour lui cette folle révélation d'une tendresse inconditionnelle nommée christianisme, et comment, perdant petit à petit ses jugements et condamnations sans appel sur lui-même et sur les autres, il a l'impression et le désir d'en vivre.
L'auteur décrit ici de la façon la plus simple ce qu'est pour lui la folle révélation d'une tendresse inconditionnelle nommée christianisme, et comment, perdant petit à petit ses jugements et condamnations sans appel sur lui-même et sur les autres, il a l'impression et le désir d'en vivre. Une conférence, quelque part. Un homme d'une bonne quarantaine d'années, philosophe, théologien, ancien clerc, maintenant enseignant, tente de répondre à la question " qu'est-ce qu'être chrétien aujourd'hui ? ".
Energique, tout à son affaire, il a pourtant l'impression de ne faire que balbutier, de se heurter à l'indicible, à la perte de repères qu'est de plus en plus devenue sa foi. Dans l'assistance, un homme ne le quittera pas des yeux ce soir-là. Il partira à la pause, avant les questions, sans qu'un mot soit échangé. Intrigué, interloqué, le conférencier cherchera en vain à savoir qui est cet individu dont l'attention semblait porteuse tour à tour d'un appel, d'une blessure, d'une joie et d'un refus.
Il se souviendra juste l'avoir entendu prononcer son nom : Rodolphe Henri. Rentré chez lui, notre homme, aujourd'hui marié et père de famille, se laissera porter par le poids de ce regard, aux reflets multiples, aux attentes inexprimables et variées. Et, à ce Rodolphe Henri, dont il ne connait que l'énigme d'une étrange rencontre sans mots, il tâchera d'écrire de la façon la plus simple ce qu'est pour lui cette folle révélation d'une tendresse inconditionnelle nommée christianisme, et comment, perdant petit à petit ses jugements et condamnations sans appel sur lui-même et sur les autres, il a l'impression et le désir d'en vivre.