Qu'est-ce qu'un chef en démocratie?. Politiques du charisme
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- Nombre de pages310
- PrésentationBroché
- Poids0.355 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-02-102111-0
- EAN9782021021110
- Date de parution27/09/2012
- CollectionL'ordre philosophique
- ÉditeurSeuil
Résumé
Terme renvoyant à un âge immémorial, moins politique que religieux, moins religieux que
superstitieux, le charisme reste pourtant un élément incontournable de l’histoire politique
contemporaine, au point que son rôle dans l’accession de Hitler au pouvoir ou le succès du culte de la
personnalité de Staline semble, aujourd’hui encore, bien plus flagrant que n’importe quelle explication
d’ordre socio-économique ou culturel.
Reliquat religieux au sein d’un monde sans foi ? Pathologie dans le cours « normal » de l’histoire de la démocratie en Occident ? Mais comment séparer le bon grain de l’ivraie, et est-on même certain que le charisme soit toujours l’ivraie, à l’heure où l’on accuse l’Union européenne d’être devenue une structure technocratique tentaculaire, confirmant les craintes de Max Weber à l’égard d’une « démocratie acéphale » totalement dépourvue de charisme ? Quitte à renouer avec le paradoxe d’un « éloge de la folie », Jean-Claude Monod, fort d’une analyse historique rigoureuse des pensées charismatiques du XXe siècle, se risque à faire la part du feu, à imaginer une forme originale de « charisme progressiste », nécessaire supplément d’âme à la machine démocratique.
Reliquat religieux au sein d’un monde sans foi ? Pathologie dans le cours « normal » de l’histoire de la démocratie en Occident ? Mais comment séparer le bon grain de l’ivraie, et est-on même certain que le charisme soit toujours l’ivraie, à l’heure où l’on accuse l’Union européenne d’être devenue une structure technocratique tentaculaire, confirmant les craintes de Max Weber à l’égard d’une « démocratie acéphale » totalement dépourvue de charisme ? Quitte à renouer avec le paradoxe d’un « éloge de la folie », Jean-Claude Monod, fort d’une analyse historique rigoureuse des pensées charismatiques du XXe siècle, se risque à faire la part du feu, à imaginer une forme originale de « charisme progressiste », nécessaire supplément d’âme à la machine démocratique.
Terme renvoyant à un âge immémorial, moins politique que religieux, moins religieux que
superstitieux, le charisme reste pourtant un élément incontournable de l’histoire politique
contemporaine, au point que son rôle dans l’accession de Hitler au pouvoir ou le succès du culte de la
personnalité de Staline semble, aujourd’hui encore, bien plus flagrant que n’importe quelle explication
d’ordre socio-économique ou culturel.
Reliquat religieux au sein d’un monde sans foi ? Pathologie dans le cours « normal » de l’histoire de la démocratie en Occident ? Mais comment séparer le bon grain de l’ivraie, et est-on même certain que le charisme soit toujours l’ivraie, à l’heure où l’on accuse l’Union européenne d’être devenue une structure technocratique tentaculaire, confirmant les craintes de Max Weber à l’égard d’une « démocratie acéphale » totalement dépourvue de charisme ? Quitte à renouer avec le paradoxe d’un « éloge de la folie », Jean-Claude Monod, fort d’une analyse historique rigoureuse des pensées charismatiques du XXe siècle, se risque à faire la part du feu, à imaginer une forme originale de « charisme progressiste », nécessaire supplément d’âme à la machine démocratique.
Reliquat religieux au sein d’un monde sans foi ? Pathologie dans le cours « normal » de l’histoire de la démocratie en Occident ? Mais comment séparer le bon grain de l’ivraie, et est-on même certain que le charisme soit toujours l’ivraie, à l’heure où l’on accuse l’Union européenne d’être devenue une structure technocratique tentaculaire, confirmant les craintes de Max Weber à l’égard d’une « démocratie acéphale » totalement dépourvue de charisme ? Quitte à renouer avec le paradoxe d’un « éloge de la folie », Jean-Claude Monod, fort d’une analyse historique rigoureuse des pensées charismatiques du XXe siècle, se risque à faire la part du feu, à imaginer une forme originale de « charisme progressiste », nécessaire supplément d’âme à la machine démocratique.