Prix Pulitzer Littérature
Coup de coeur

Qu'avons-nous fait de nos rêves ?

Par : Jennifer Egan

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  • Nombre de pages408
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.226 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,9 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-264-08095-0
  • EAN9782264080950
  • Date de parution15/09/2022
  • CollectionLittérature étrangère
  • Éditeur10/18
  • TraducteurSylvie Schneiter

Résumé

Sasha, kleptomane en rémission, et Bennie, père divorcé et impuissant, se sont croisés dans leur jeunesse, mais que s'est-il passé pour qu'ils en arrivent là ? Qui n'a jamais rêvé de monter un jour sur scène ? De quitter l'ombre pour se retrouver sous les feux des projecteurs ? C'est l'ambition que partage une petite bande d'adolescents dans le San Francisco débridé des années 1970. Avec leur groupe de musique punk, ils jouent dans des bars, font des pogos et se donnent l'illusion d'une désinvolture propre à leur jeunesse.
Mais le temps passe et l'irrévérence laisse bientôt place aux contraintes de la vie adulte. Bennie, ancien mélomane passionné, est devenu producteur de musique et se contente de sortir des tubes insipides. Lou Kline, dragueur invétéré, se retrouve seul dans sa belle maison. Et que dire de la belle Sasha qui, après un passé tumultueux, a le sentiment d'enchaîner les échecs ? Et pourtant, ils n'ont pas dit leur dernier mot.
" Une maestria affolante. " Le Figaro littéraire " Addictif comme une série télé. " Les Inrockuptibles " Une épopée générationnelle entre comédie et mélancolie. " Vogue " Avec quelle aisance l'auteure parvient-elle à jongler d'un destin, d'une époque et d'une forme à l'autre ! " ELLE Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Sylvie Schneiter
Sasha, kleptomane en rémission, et Bennie, père divorcé et impuissant, se sont croisés dans leur jeunesse, mais que s'est-il passé pour qu'ils en arrivent là ? Qui n'a jamais rêvé de monter un jour sur scène ? De quitter l'ombre pour se retrouver sous les feux des projecteurs ? C'est l'ambition que partage une petite bande d'adolescents dans le San Francisco débridé des années 1970. Avec leur groupe de musique punk, ils jouent dans des bars, font des pogos et se donnent l'illusion d'une désinvolture propre à leur jeunesse.
Mais le temps passe et l'irrévérence laisse bientôt place aux contraintes de la vie adulte. Bennie, ancien mélomane passionné, est devenu producteur de musique et se contente de sortir des tubes insipides. Lou Kline, dragueur invétéré, se retrouve seul dans sa belle maison. Et que dire de la belle Sasha qui, après un passé tumultueux, a le sentiment d'enchaîner les échecs ? Et pourtant, ils n'ont pas dit leur dernier mot.
" Une maestria affolante. " Le Figaro littéraire " Addictif comme une série télé. " Les Inrockuptibles " Une épopée générationnelle entre comédie et mélancolie. " Vogue " Avec quelle aisance l'auteure parvient-elle à jongler d'un destin, d'une époque et d'une forme à l'autre ! " ELLE Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Sylvie Schneiter

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
FabienDecitre Part-Dieu
4/5
A Visit From the Goon Squad
Beaucoup de personnages, plus ou moins liés au monde de la musique : producteurs, musiciens, parfois bien installés dans leur existence, mais toujours avec une pointe d'insatisfaction, ou bien partant à la dérive. Le livre est un roman hybride, ni roman ni recueil de nouvelles, il regroupe différentes histoires axés sur un de ces personnages alors que les autres passent au second plan, sans continuité chronologique, et dans un style d'écriture très différent d'un chapitre à l'autre, l'un d'entre eux par exemple est le journal d'une adolescente écrit en Powerpoint. Chaque personnage a un côté obscure, et on a l'occasion de lire Face A et Face B pour chacun d'entre eux. On fait régulièrement des bons dans le temps, voir dans l'anticipation pour l'un des chapitres. Un livre plein d'énergie, de rire ou de larmes et de réflexions sur nos destins quotidiens. Le titre retenu pour la traduction est un peu trop explicite, je préfères la version originale...
Beaucoup de personnages, plus ou moins liés au monde de la musique : producteurs, musiciens, parfois bien installés dans leur existence, mais toujours avec une pointe d'insatisfaction, ou bien partant à la dérive. Le livre est un roman hybride, ni roman ni recueil de nouvelles, il regroupe différentes histoires axés sur un de ces personnages alors que les autres passent au second plan, sans continuité chronologique, et dans un style d'écriture très différent d'un chapitre à l'autre, l'un d'entre eux par exemple est le journal d'une adolescente écrit en Powerpoint. Chaque personnage a un côté obscure, et on a l'occasion de lire Face A et Face B pour chacun d'entre eux. On fait régulièrement des bons dans le temps, voir dans l'anticipation pour l'un des chapitres. Un livre plein d'énergie, de rire ou de larmes et de réflexions sur nos destins quotidiens. Le titre retenu pour la traduction est un peu trop explicite, je préfères la version originale...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.2/5
sur 9 notes dont 3 avis lecteurs
Prix Pulitzer ?!?
J'ai trouvé le sujet et les personnages intéressants, mais je me suis noyée dans la multitude de ces personnages, des lieux et des temps qu'alterne l'auteur. Tout ça pour terminer avec un sentiment d'inachevé, d'être passée à côté du sujet. J'ai trouvé la lecture de ce livre globalement ennuyeuse, rien n'est fait pour retenir le lecteur : tu suis, tant mieux ! tu suis pas ? tant pis... Moi j'ai envie de dire : n'est pas John Irving qui veut !
J'ai trouvé le sujet et les personnages intéressants, mais je me suis noyée dans la multitude de ces personnages, des lieux et des temps qu'alterne l'auteur. Tout ça pour terminer avec un sentiment d'inachevé, d'être passée à côté du sujet. J'ai trouvé la lecture de ce livre globalement ennuyeuse, rien n'est fait pour retenir le lecteur : tu suis, tant mieux ! tu suis pas ? tant pis... Moi j'ai envie de dire : n'est pas John Irving qui veut !
  • brouillon
Trop de lignes
Je n’ai pas pu aller au-delà des cent premiers chapitres. Toute cette débauche de drogue, de lignes enfilées par le nez, d’alcool, de mauvais sexe, de mauvaise musique… Tout ce gâchis m’a écœuré. Je ne suis pas faite du tout pour ce genre de littérature, même si Jennifer Egan a reçu le prix Pullitzer en 2011 pour ce roman. Dois-je le regretter ? Oh que non, il y a tant de livres, intéressants pour moi, qui attendent que je les déloge de leurs piles.
Je n’ai pas pu aller au-delà des cent premiers chapitres. Toute cette débauche de drogue, de lignes enfilées par le nez, d’alcool, de mauvais sexe, de mauvaise musique… Tout ce gâchis m’a écœuré. Je ne suis pas faite du tout pour ce genre de littérature, même si Jennifer Egan a reçu le prix Pullitzer en 2011 pour ce roman. Dois-je le regretter ? Oh que non, il y a tant de livres, intéressants pour moi, qui attendent que je les déloge de leurs piles.
Etats-Unis
Prix Pulitzer, excusez du peu ! Pourtant, voici un roman typiquement américano-américain. La narration n'est pas fluide, l'histoire hachée, comme les dialogues des personnages. Je développe : oui, il est question de deux personnages présentés dans le résumé. Pourtant, à aucun moment, cela n'est clair, car ces deux personnages évoluent au milieu d'une foule d'autres qui se croisent sans cesse. Au début de sa lecture, pourquoi donc préféré ces deux plus que d'autres, qui sont tout aussi intéressant ? Ensuite, l'histoire est hachée. Chaque chapitre se focalise sur un personnage (pas forcément Bennie et Sasha) pour le suivre quelque temps, et puis plus rien. Le temps fait des bons sans que jamais il n'y ait d'indication d'époque, sauf l'âge de Bennie et Sasha, au détour d'une phrase. Enfin, rédibitoires, les dialogues. Maximum 6 lignes qui ne disent rien, ne mènent à rien, ne font pas avancer le schmilblick et finissent en queue de poisson. J'en attendais plus : un peu de psychologie dévoilée, une avancée dans l'intrigue. Mais non. Un roman qui piétine, je vous dis. Ceci dit, certains m'opposeront le fait que ce roman suit la ligne du temps, sinueuse ; s'approche de la réalité dans laquelle nous croisons et recroisons des êtres. Mais j'attends autre chose de la littérature, notamment qu'elle mette de l'ordre et de la fluidité dans la vie. Seul point de repère : la musique. Attention, pas de partitions de Brahms, non, de la musique pop et rock des années 70-80. Et pas les stars internationales, les groupes typiquement américain. De quoi s'ennuyer ferme quand on n'en connait aucun. L'image que je retiendrai : Celle des cheveux roux de Sasha.
Prix Pulitzer, excusez du peu ! Pourtant, voici un roman typiquement américano-américain. La narration n'est pas fluide, l'histoire hachée, comme les dialogues des personnages. Je développe : oui, il est question de deux personnages présentés dans le résumé. Pourtant, à aucun moment, cela n'est clair, car ces deux personnages évoluent au milieu d'une foule d'autres qui se croisent sans cesse. Au début de sa lecture, pourquoi donc préféré ces deux plus que d'autres, qui sont tout aussi intéressant ? Ensuite, l'histoire est hachée. Chaque chapitre se focalise sur un personnage (pas forcément Bennie et Sasha) pour le suivre quelque temps, et puis plus rien. Le temps fait des bons sans que jamais il n'y ait d'indication d'époque, sauf l'âge de Bennie et Sasha, au détour d'une phrase. Enfin, rédibitoires, les dialogues. Maximum 6 lignes qui ne disent rien, ne mènent à rien, ne font pas avancer le schmilblick et finissent en queue de poisson. J'en attendais plus : un peu de psychologie dévoilée, une avancée dans l'intrigue. Mais non. Un roman qui piétine, je vous dis. Ceci dit, certains m'opposeront le fait que ce roman suit la ligne du temps, sinueuse ; s'approche de la réalité dans laquelle nous croisons et recroisons des êtres. Mais j'attends autre chose de la littérature, notamment qu'elle mette de l'ordre et de la fluidité dans la vie. Seul point de repère : la musique. Attention, pas de partitions de Brahms, non, de la musique pop et rock des années 70-80. Et pas les stars internationales, les groupes typiquement américain. De quoi s'ennuyer ferme quand on n'en connait aucun. L'image que je retiendrai : Celle des cheveux roux de Sasha.
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