Putain de portraits
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.2 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-8321-0671-6
- EAN9782832106716
- Date de parution20/05/2015
- ÉditeurSLATKINE
Résumé
Des déambulations nocturnes aux accostages matinaux qui figurent le quotidien d'une population dont la foison de sobriquets égale la variété des pratiques, des longs défilés de silhouettes floues et teintées aux colonnes des phares qui convergent vers les angles de boulevards, les soubassements de ponts ou les coins de rue incertains, nous arpentons les coulisses de ce théâtre du réel, franchissons les portiques attitrés et les couloirs moroses, croisant les regards inévitables de ces femmes issues d'ici, de là ou d'un continent lointain, celles dont l'aventure de vie a provisoirement fait escale dans ces lieux (...
) hétéroclites et colorés dont la fonction, la disposition et l'ordre nous révèlent la mise en scène du rituel à venir, des désirs et plaisirs possibles, des violences érotisées, du fétiche, de la confidence mêlée à la douceur d'une expression, de la tendresse et de l'écoute. Le rapport au réel est un rapport libéral, « cash », au sens propre comme au figuré, dans un monde dans lequel aussi tout se monnaie sans concessions.
La seule crainte de l'illégalité, de l'exclusion, de la persécution ou d'un futur impossible exige la fabrication d'un soi anonyme et transformable.
) hétéroclites et colorés dont la fonction, la disposition et l'ordre nous révèlent la mise en scène du rituel à venir, des désirs et plaisirs possibles, des violences érotisées, du fétiche, de la confidence mêlée à la douceur d'une expression, de la tendresse et de l'écoute. Le rapport au réel est un rapport libéral, « cash », au sens propre comme au figuré, dans un monde dans lequel aussi tout se monnaie sans concessions.
La seule crainte de l'illégalité, de l'exclusion, de la persécution ou d'un futur impossible exige la fabrication d'un soi anonyme et transformable.
Des déambulations nocturnes aux accostages matinaux qui figurent le quotidien d'une population dont la foison de sobriquets égale la variété des pratiques, des longs défilés de silhouettes floues et teintées aux colonnes des phares qui convergent vers les angles de boulevards, les soubassements de ponts ou les coins de rue incertains, nous arpentons les coulisses de ce théâtre du réel, franchissons les portiques attitrés et les couloirs moroses, croisant les regards inévitables de ces femmes issues d'ici, de là ou d'un continent lointain, celles dont l'aventure de vie a provisoirement fait escale dans ces lieux (...
) hétéroclites et colorés dont la fonction, la disposition et l'ordre nous révèlent la mise en scène du rituel à venir, des désirs et plaisirs possibles, des violences érotisées, du fétiche, de la confidence mêlée à la douceur d'une expression, de la tendresse et de l'écoute. Le rapport au réel est un rapport libéral, « cash », au sens propre comme au figuré, dans un monde dans lequel aussi tout se monnaie sans concessions.
La seule crainte de l'illégalité, de l'exclusion, de la persécution ou d'un futur impossible exige la fabrication d'un soi anonyme et transformable.
) hétéroclites et colorés dont la fonction, la disposition et l'ordre nous révèlent la mise en scène du rituel à venir, des désirs et plaisirs possibles, des violences érotisées, du fétiche, de la confidence mêlée à la douceur d'une expression, de la tendresse et de l'écoute. Le rapport au réel est un rapport libéral, « cash », au sens propre comme au figuré, dans un monde dans lequel aussi tout se monnaie sans concessions.
La seule crainte de l'illégalité, de l'exclusion, de la persécution ou d'un futur impossible exige la fabrication d'un soi anonyme et transformable.