Pulsions urbaines 1962-2017. L'Amérique Latine en mouvement
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- Nombre de pages528
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids3.2 kg
- Dimensions24,8 cm × 30,9 cm × 4,2 cm
- ISBN978-2-9522442-9-9
- EAN9782952244299
- Date de parution05/06/2017
- ÉditeurToluca Editions
Résumé
Les travaux de plus de 125 photographes et artistes, originaires d'Argentine, du Brésil, du Chili, de Colombie, de Cuba, d'Equateur, du Mexique, du Pérou et du Venezuela, expriment les contradictions d'un continent qui dans sa condition hybride, se débat entre le préhispanique, le postcolonial et la société capitaliste qui a implacablement envahi les processus de consolidation des villes. Au fil des chapitres s'enchaînent les imaginaires de la transition urbaine, où ruraux et citadins rêvent la métropole.
"Cris" et "Les damnés" montrent le plus douloureux. "Ouvert la nuit", "I want to be me" et "Couleurs Populaires" expriment l'ethos latino, parfois stéréotypé, de la rumba, du tumulte, des couleurs, et cette capacité festive au coeur de la tragédie. L'architecture, des ruines au béton, raconte l'expansion des villes latino-américaines, sur ses "Murs vivants", dans ses "Géométries urbaines", où se mêlent modernisme, vernaculaire et kitsch.
"Cris" et "Les damnés" montrent le plus douloureux. "Ouvert la nuit", "I want to be me" et "Couleurs Populaires" expriment l'ethos latino, parfois stéréotypé, de la rumba, du tumulte, des couleurs, et cette capacité festive au coeur de la tragédie. L'architecture, des ruines au béton, raconte l'expansion des villes latino-américaines, sur ses "Murs vivants", dans ses "Géométries urbaines", où se mêlent modernisme, vernaculaire et kitsch.
Les travaux de plus de 125 photographes et artistes, originaires d'Argentine, du Brésil, du Chili, de Colombie, de Cuba, d'Equateur, du Mexique, du Pérou et du Venezuela, expriment les contradictions d'un continent qui dans sa condition hybride, se débat entre le préhispanique, le postcolonial et la société capitaliste qui a implacablement envahi les processus de consolidation des villes. Au fil des chapitres s'enchaînent les imaginaires de la transition urbaine, où ruraux et citadins rêvent la métropole.
"Cris" et "Les damnés" montrent le plus douloureux. "Ouvert la nuit", "I want to be me" et "Couleurs Populaires" expriment l'ethos latino, parfois stéréotypé, de la rumba, du tumulte, des couleurs, et cette capacité festive au coeur de la tragédie. L'architecture, des ruines au béton, raconte l'expansion des villes latino-américaines, sur ses "Murs vivants", dans ses "Géométries urbaines", où se mêlent modernisme, vernaculaire et kitsch.
"Cris" et "Les damnés" montrent le plus douloureux. "Ouvert la nuit", "I want to be me" et "Couleurs Populaires" expriment l'ethos latino, parfois stéréotypé, de la rumba, du tumulte, des couleurs, et cette capacité festive au coeur de la tragédie. L'architecture, des ruines au béton, raconte l'expansion des villes latino-américaines, sur ses "Murs vivants", dans ses "Géométries urbaines", où se mêlent modernisme, vernaculaire et kitsch.