Coup de coeur
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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.106 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-253-25237-5
  • EAN9782253252375
  • Date de parution02/01/2025
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Désormais, écrire, ce serait voler. Je ne suggère pas que me lire soit un exercice d'altitude, je sais que quand j'atteins mon écriture, je vole. Mon rêve prit sens. Oui, j'avais découvert la gymnastique qui permettait de s'envoler : il s'agit de se positionner d'une manière particulière à l'intérieur de soi, de saisir le bon angle et la juste distance et de se précipiter. A. N.
Désormais, écrire, ce serait voler. Je ne suggère pas que me lire soit un exercice d'altitude, je sais que quand j'atteins mon écriture, je vole. Mon rêve prit sens. Oui, j'avais découvert la gymnastique qui permettait de s'envoler : il s'agit de se positionner d'une manière particulière à l'intérieur de soi, de saisir le bon angle et la juste distance et de se précipiter. A. N.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Agathe R.Decitre Annecy
4/5
"Ecrire, c'est voler"
Dans ce roman, Amélie Nothomb porte un regard rétrospectif sur la passion qu'elle a développée dans son enfance pour les oiseaux. Pour leurs ailes, leur chant, leur mode de vie, leur parade nuptiale, leurs couleurs.Pour leur vol, surtout, qui a inspiré l'auteure à prendre son propre envol à travers l'écriture. Un beau récit poétique qui nous fait voyager au Japon et au Bangladesh, vers la naissance de l'éveil littéraire d'une jeune fille.
Dans ce roman, Amélie Nothomb porte un regard rétrospectif sur la passion qu'elle a développée dans son enfance pour les oiseaux. Pour leurs ailes, leur chant, leur mode de vie, leur parade nuptiale, leurs couleurs.Pour leur vol, surtout, qui a inspiré l'auteure à prendre son propre envol à travers l'écriture. Un beau récit poétique qui nous fait voyager au Japon et au Bangladesh, vers la naissance de l'éveil littéraire d'une jeune fille.
LAURA BDecitre Chambéry
4/5
Passion des oiseaux
Dans ce nouveau roman, comme à son habitude, la plus parisienne des belges nous confie son obsession qu'elle avait des volatiles lorsqu'elle était enfant jusqu'à l'âge adulte. Du Japon, jusqu'à New-York en passant par le Bangladesh, Birmanie et Laos, Amélie Nothomb se confie très intimement dans ce roman très drôle mais aussi parfois poignant, que j'ai beaucoup aimé découvrir.
Dans ce nouveau roman, comme à son habitude, la plus parisienne des belges nous confie son obsession qu'elle avait des volatiles lorsqu'elle était enfant jusqu'à l'âge adulte. Du Japon, jusqu'à New-York en passant par le Bangladesh, Birmanie et Laos, Amélie Nothomb se confie très intimement dans ce roman très drôle mais aussi parfois poignant, que j'ai beaucoup aimé découvrir.
Anthony B. - 7Decitre Ecully
5/5
sensible et sublime
Un désir de liberté, tel un oiseau, elle tente de s’envoler. Comme à son habitude, Amélie Nothomb nous entraîne au plus profond de son être, de ses envies. Une fiction inspirée de son propre vécu où elle se livre avec tendresse et émotion sur la relation à l’autre, à la mort et à son art. L’un de ses meilleurs romans, l’un des plus intimes. Un excellent moment de lecture !
Un désir de liberté, tel un oiseau, elle tente de s’envoler. Comme à son habitude, Amélie Nothomb nous entraîne au plus profond de son être, de ses envies. Une fiction inspirée de son propre vécu où elle se livre avec tendresse et émotion sur la relation à l’autre, à la mort et à son art. L’un de ses meilleurs romans, l’un des plus intimes. Un excellent moment de lecture !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.3/5
sur 3 notes dont 4 avis lecteurs
Exégèse métaphorique
Après Soif et Premier sang, consacrés l’un au Fils (le Christ), l’autre au Père (le sien), Amélie Nothomb clôt sa trilogie christique avec le Saint-Esprit, figuré par un oiseau psychopompe (elle-même), passeur d’âmes entre la vie et la mort. Tout commence, sur un ton léger, par l’enfance cosmopolite de cette fille de diplomates qui, du Japon à la Thaïlande en passant par la Chine, le Bengladesh ou la Birmanie, se prendrait presque pour l’un de ces oiseaux qu’elle se plaît depuis toujours à observer. Ainsi le fabuleux engoulevent oreillard, aux oreilles pointues le faisant sembler, à ses yeux d’enfant, un dragon courroucé de devoir de temps à autre se poser. Mais l’oeuf qu’est encore la narratrice est brisé par un viol, à ses douze ans, lors d’un bain de mer au Bengladesh. La fulgurance de la scène, tout entière contenue dans « Les mains de la mer s’emparèrent de moi », s’éteint dans un quasi non-dit, une ellipse refermée par sa mère en moins de mots encore : « pauvre petite ». « Quelque chose s’éteignit en moi. On ne me vit plus dans aucune eau. » « La violence des mains de la mer avait arraché la coquille, je n’étais plus l’œuf que j’avais été. Oisillon dépourvu de plumes, il me faudrait accéder au statut d’oiseau. Cela serait monstrueusement difficile. » A cet exact mitan du livre, le ton s’est fait plus grave mais, concis jusqu’à l‘épure, conserve la grâce d’un vol en apesanteur. Pour sortir, tel Orphée psychopompe, des Enfers de l’anorexie, la jeune Amélie Nothomb doit trouver la force de déployer ses ailes d’adulte, et cet envol, c’est l’écriture qui le lui permet. Dès lors, le récit autobiographique se fait exégèse, dégageant rétrospectivement la cohérence de l’oeuvre de l’auteur et s’attachant à une réflexion, elle aussi à l’aune de la métaphore aviaire, sur l’acte d’écrire. Question pour elle de « vie ou de mort », l’écriture est un vol libre qui « comporte l’énorme péril de la chute », mais « privilège absolu », « grâce » la plus élevée, elle doit, par son style, éviter « tout excédent de bagages », ne « s’embarrasser [que] d’un minimum de matière », pour « empêcher [ses] phrase[s] de sombrer ». Elle que l’écriture a fait revenir des morts - « la morte, c’était la moi d’avant » -, raconte comment son livre Premier sang lui a aussi permis de nouer un dialogue post-mortem avec son père. Avec ce livre autobiographique qui, à la fois grave et léger, tout en élégance et en épure, s’enveloppe de la métaphore pour un récit à la fois intimiste et éclairant sur les vertus essentielles, salvatrices et psychopompes de l’écriture, c’est une clé ouvrant les espaces les plus secrets de son œuvre que nous offre l’inimitable Amélie Nothomb.
Après Soif et Premier sang, consacrés l’un au Fils (le Christ), l’autre au Père (le sien), Amélie Nothomb clôt sa trilogie christique avec le Saint-Esprit, figuré par un oiseau psychopompe (elle-même), passeur d’âmes entre la vie et la mort. Tout commence, sur un ton léger, par l’enfance cosmopolite de cette fille de diplomates qui, du Japon à la Thaïlande en passant par la Chine, le Bengladesh ou la Birmanie, se prendrait presque pour l’un de ces oiseaux qu’elle se plaît depuis toujours à observer. Ainsi le fabuleux engoulevent oreillard, aux oreilles pointues le faisant sembler, à ses yeux d’enfant, un dragon courroucé de devoir de temps à autre se poser. Mais l’oeuf qu’est encore la narratrice est brisé par un viol, à ses douze ans, lors d’un bain de mer au Bengladesh. La fulgurance de la scène, tout entière contenue dans « Les mains de la mer s’emparèrent de moi », s’éteint dans un quasi non-dit, une ellipse refermée par sa mère en moins de mots encore : « pauvre petite ». « Quelque chose s’éteignit en moi. On ne me vit plus dans aucune eau. » « La violence des mains de la mer avait arraché la coquille, je n’étais plus l’œuf que j’avais été. Oisillon dépourvu de plumes, il me faudrait accéder au statut d’oiseau. Cela serait monstrueusement difficile. » A cet exact mitan du livre, le ton s’est fait plus grave mais, concis jusqu’à l‘épure, conserve la grâce d’un vol en apesanteur. Pour sortir, tel Orphée psychopompe, des Enfers de l’anorexie, la jeune Amélie Nothomb doit trouver la force de déployer ses ailes d’adulte, et cet envol, c’est l’écriture qui le lui permet. Dès lors, le récit autobiographique se fait exégèse, dégageant rétrospectivement la cohérence de l’oeuvre de l’auteur et s’attachant à une réflexion, elle aussi à l’aune de la métaphore aviaire, sur l’acte d’écrire. Question pour elle de « vie ou de mort », l’écriture est un vol libre qui « comporte l’énorme péril de la chute », mais « privilège absolu », « grâce » la plus élevée, elle doit, par son style, éviter « tout excédent de bagages », ne « s’embarrasser [que] d’un minimum de matière », pour « empêcher [ses] phrase[s] de sombrer ». Elle que l’écriture a fait revenir des morts - « la morte, c’était la moi d’avant » -, raconte comment son livre Premier sang lui a aussi permis de nouer un dialogue post-mortem avec son père. Avec ce livre autobiographique qui, à la fois grave et léger, tout en élégance et en épure, s’enveloppe de la métaphore pour un récit à la fois intimiste et éclairant sur les vertus essentielles, salvatrices et psychopompes de l’écriture, c’est une clé ouvrant les espaces les plus secrets de son œuvre que nous offre l’inimitable Amélie Nothomb.
Tres decevant
Toujours aussi bien ecrit : mi auto biographique, pdeudo philosophique , en tout cas pas abouti selon moi ... Rien a voir avec ce que j ai deja lu d Amelie Nothomb ...
Toujours aussi bien ecrit : mi auto biographique, pdeudo philosophique , en tout cas pas abouti selon moi ... Rien a voir avec ce que j ai deja lu d Amelie Nothomb ...
Psychopompe
Toujours aussi bien ecrit mais pas abouti ....
Toujours aussi bien ecrit mais pas abouti ....
Amélie Nothomb
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