Proudhon, les années politiques. A travers une révolution ; La propriété c'est le vol ; Proudhon devant l'Assemblée nationale
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- Nombre de pages374
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-912339-66-9
- EAN9782912339669
- Date de parution01/01/2015
- ÉditeurTOPS/H. Trinquier
Résumé
Les trois ouvrages que nous reproduisons - A travers une révolution, par A. Darimon (1884), La Propriété c'est le vol, vaudeville de Claiville (1848) et Proudhon devant l'Assemblée nationale, par Junius (1848) - traitent des cinq années où Proudhon a sincèrement cru qu'une action politique pouvait, si ce n'est faire uvre révolutionnaire, tout au moins changer en profondeur l'organisation économique et sociale.
Il faut dire que le peuple venait de mettre en fuite Louis-Philippe et qu'après près de cinquante années d'Empire et de royauté, la République était à nouveau proclamée. Nous sommes donc dans une période bien particulière de l'histoire. Le premier, écrit par l'un de ses amis et bras droit, nous dépeint Proudhon lors de ces années, au quotidien, intime : Le Proudhon journaliste ; le Proudhon député ; le Proudhon prisonnier...
Le deuxième est un vaudeville écrit par l'un des comédiens les plus en vue de son temps. Cette pièce, en sept tableaux, écrite pour une trentaine de comédiens et orchestre, jouée dans un des grands théâtres de la capitale, nous prouve la renommée de l'homme-terreur. Proudhon, le personnage principal, y est représenté comme le serpent de la Genèse revenant en 1848 anéantir la société... Mais, rassurez-vous, à la fin de la pièce, Happy end ! Un ange lui fera ôter ses lunettes et retrouver la vue.
Le dernier retranscrit le duel entre Thiers et Proudhon à l'Assemblée nationale, duel qui se terminera par le célèbre blâme de Proudhon, à l'unanimité moins deux voix (dont la sienne).
Il faut dire que le peuple venait de mettre en fuite Louis-Philippe et qu'après près de cinquante années d'Empire et de royauté, la République était à nouveau proclamée. Nous sommes donc dans une période bien particulière de l'histoire. Le premier, écrit par l'un de ses amis et bras droit, nous dépeint Proudhon lors de ces années, au quotidien, intime : Le Proudhon journaliste ; le Proudhon député ; le Proudhon prisonnier...
Le deuxième est un vaudeville écrit par l'un des comédiens les plus en vue de son temps. Cette pièce, en sept tableaux, écrite pour une trentaine de comédiens et orchestre, jouée dans un des grands théâtres de la capitale, nous prouve la renommée de l'homme-terreur. Proudhon, le personnage principal, y est représenté comme le serpent de la Genèse revenant en 1848 anéantir la société... Mais, rassurez-vous, à la fin de la pièce, Happy end ! Un ange lui fera ôter ses lunettes et retrouver la vue.
Le dernier retranscrit le duel entre Thiers et Proudhon à l'Assemblée nationale, duel qui se terminera par le célèbre blâme de Proudhon, à l'unanimité moins deux voix (dont la sienne).
Les trois ouvrages que nous reproduisons - A travers une révolution, par A. Darimon (1884), La Propriété c'est le vol, vaudeville de Claiville (1848) et Proudhon devant l'Assemblée nationale, par Junius (1848) - traitent des cinq années où Proudhon a sincèrement cru qu'une action politique pouvait, si ce n'est faire uvre révolutionnaire, tout au moins changer en profondeur l'organisation économique et sociale.
Il faut dire que le peuple venait de mettre en fuite Louis-Philippe et qu'après près de cinquante années d'Empire et de royauté, la République était à nouveau proclamée. Nous sommes donc dans une période bien particulière de l'histoire. Le premier, écrit par l'un de ses amis et bras droit, nous dépeint Proudhon lors de ces années, au quotidien, intime : Le Proudhon journaliste ; le Proudhon député ; le Proudhon prisonnier...
Le deuxième est un vaudeville écrit par l'un des comédiens les plus en vue de son temps. Cette pièce, en sept tableaux, écrite pour une trentaine de comédiens et orchestre, jouée dans un des grands théâtres de la capitale, nous prouve la renommée de l'homme-terreur. Proudhon, le personnage principal, y est représenté comme le serpent de la Genèse revenant en 1848 anéantir la société... Mais, rassurez-vous, à la fin de la pièce, Happy end ! Un ange lui fera ôter ses lunettes et retrouver la vue.
Le dernier retranscrit le duel entre Thiers et Proudhon à l'Assemblée nationale, duel qui se terminera par le célèbre blâme de Proudhon, à l'unanimité moins deux voix (dont la sienne).
Il faut dire que le peuple venait de mettre en fuite Louis-Philippe et qu'après près de cinquante années d'Empire et de royauté, la République était à nouveau proclamée. Nous sommes donc dans une période bien particulière de l'histoire. Le premier, écrit par l'un de ses amis et bras droit, nous dépeint Proudhon lors de ces années, au quotidien, intime : Le Proudhon journaliste ; le Proudhon député ; le Proudhon prisonnier...
Le deuxième est un vaudeville écrit par l'un des comédiens les plus en vue de son temps. Cette pièce, en sept tableaux, écrite pour une trentaine de comédiens et orchestre, jouée dans un des grands théâtres de la capitale, nous prouve la renommée de l'homme-terreur. Proudhon, le personnage principal, y est représenté comme le serpent de la Genèse revenant en 1848 anéantir la société... Mais, rassurez-vous, à la fin de la pièce, Happy end ! Un ange lui fera ôter ses lunettes et retrouver la vue.
Le dernier retranscrit le duel entre Thiers et Proudhon à l'Assemblée nationale, duel qui se terminera par le célèbre blâme de Proudhon, à l'unanimité moins deux voix (dont la sienne).