Projet d'excavation d'une ville romaine au désert

Par : Luis-Antonio de Villena

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages128
  • PrésentationBroché
  • Poids0.163 kg
  • Dimensions14,3 cm × 19,2 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-35577-047-0
  • EAN9782355770470
  • Date de parution27/11/2013
  • CollectionPlupart du temps
  • ÉditeurLa rumeur libre
  • TraducteurAnnie Salager

Résumé

Je lis dans Ovide: " Quantum mortalia pectora caecae Noctis habent ! " (Que d'aveugle nuit contiennent les poitrines mortelles !) Est-ce semblable à ce que nous lisons chez Juan Ramon Jimenez: " je me suis réveillé deux fois, triste et triste... " ? Ou à ce que j'ai lu aussi chez Marina Tsvietaieva, déjà citée dans ce livre: " il y a quelque chose que je n'ai pas su faire : vivre " ? Ceci est un livre, à l'évidence, élégiaque.
Sur le temps, son passage et ses beautés. Et comme toute élégie - avec aussi son équivalence archéologique - c'est par là même un livre au vitalisme et à la sensualité énormes, parce que la fugacité exalte le plaisir. Des références culturelles ? Elles m'ont toujours paru être partie intégrante et sommet de la vie : elles la couronnent, la soulignent, la multiplient... La ville romaine qui découvre ses splendeurs cachées est toujours notre propre vie.
Toutes les vies. Le simoun a toujours soufflé sur elles. Elégie et sensualité : la vie, le temps.
Je lis dans Ovide: " Quantum mortalia pectora caecae Noctis habent ! " (Que d'aveugle nuit contiennent les poitrines mortelles !) Est-ce semblable à ce que nous lisons chez Juan Ramon Jimenez: " je me suis réveillé deux fois, triste et triste... " ? Ou à ce que j'ai lu aussi chez Marina Tsvietaieva, déjà citée dans ce livre: " il y a quelque chose que je n'ai pas su faire : vivre " ? Ceci est un livre, à l'évidence, élégiaque.
Sur le temps, son passage et ses beautés. Et comme toute élégie - avec aussi son équivalence archéologique - c'est par là même un livre au vitalisme et à la sensualité énormes, parce que la fugacité exalte le plaisir. Des références culturelles ? Elles m'ont toujours paru être partie intégrante et sommet de la vie : elles la couronnent, la soulignent, la multiplient... La ville romaine qui découvre ses splendeurs cachées est toujours notre propre vie.
Toutes les vies. Le simoun a toujours soufflé sur elles. Elégie et sensualité : la vie, le temps.
Fuir L'Hiver
Luis-Antonio de Villena
12,00 €