Profondeurs de l'écoute et espaces du son. Cinéma, radio, musique
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- Nombre de pages246
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.476 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-86820-994-8
- EAN9782868209948
- Date de parution27/03/2018
- CollectionFormes cinématographiques
- ÉditeurPU de Strasbourg
Résumé
En mobilisant tour à tour un film d'Howard Hawks, un documentaire de Marilia Rocha, le corps de Jerry Lewis, Brigadoon de Vincente Minelli, le paysage sonore de la radio, la musique dans Les amants du Pont Neuf de Leos Carax, enfin La mort de Molière de Robert Wilson, Serge Cardinal élabore le concept de musicalité du cinéma. La musicalité du cinéma s'entend d'abord comme une puissance de production, de configuration et d'implication temporelles d'affects, puis comme la faculté mimétique de celui ou celle qui fait l'expérience d'un film.
A cet égard, l'auteur rappelle que comprendre les oeuvres d'art impose de les répéter, les jouer, de se rendre semblable à elles en les imitant.
A cet égard, l'auteur rappelle que comprendre les oeuvres d'art impose de les répéter, les jouer, de se rendre semblable à elles en les imitant.
En mobilisant tour à tour un film d'Howard Hawks, un documentaire de Marilia Rocha, le corps de Jerry Lewis, Brigadoon de Vincente Minelli, le paysage sonore de la radio, la musique dans Les amants du Pont Neuf de Leos Carax, enfin La mort de Molière de Robert Wilson, Serge Cardinal élabore le concept de musicalité du cinéma. La musicalité du cinéma s'entend d'abord comme une puissance de production, de configuration et d'implication temporelles d'affects, puis comme la faculté mimétique de celui ou celle qui fait l'expérience d'un film.
A cet égard, l'auteur rappelle que comprendre les oeuvres d'art impose de les répéter, les jouer, de se rendre semblable à elles en les imitant.
A cet égard, l'auteur rappelle que comprendre les oeuvres d'art impose de les répéter, les jouer, de se rendre semblable à elles en les imitant.
