Au delà de l’attachement naturel que peut susciter ce roman à l’eau rouge, affection éternelle d’un père veuf pour son fils, atteint qui plus est d’une pathologie dont l’origine trouve ses sources dans la perception corrompue des vérités immuables de ce monde.
Ce livre terriblement mal traduit (qui sait encore lire l’anglais honni) est du pain béni pour la sphère bien-pensante gauchiste des élites et médias gavés d’autosatisfaction et d’antitrumpisme.
Ce livre n’est qu’une tumeur de plus rongeuse de notre société au bord du gouffre creusé par les fous climatiques ignares de la Science vraie et de l’Histoire Géologique de notre planète, imbibés de désinformation distillée par un petit nombre de puissants dont l’objectif unique est l’éradication de l’essentiel de ce qu’est l’humanité, au plus vite et par tous les moyens.
Les commentaires alignés sur la doxa, sont autant de métastases mortifères, marqueurs de l’agonie de notre Civilisation à bout de souffle sous les coups de butoir de l’autre, imprononçable, encore primitive, avide de sang et de violences, forte de ses capacités sacrificielles face auxquelles les hordes émasculées abruties de novlangue sulfureuse dont l’épicentre est l’implacable haine de soi, et dont l’An de Grâce 732 n’a jamais rien incarné.
De ces livres qui soumettent notre jeunesse lycéenne usant de leur jeune vigueur pour creuser plus vite encore notre fosse commune.
De ces livres pour lesquels Fahrenheit 451 a été imaginé !
Puisse-t-il être par delà le temps, cette prophétie si improbable qui sauverait ce qui peut l’être encore de notre monde, purifié dans les braises ardentes de ces pages maudites entassées en bûcher, aux cendres évaporées au gré d’un vent nouveau venu apaiser celui des six millions d’âmes assassinées par des idées identiques puisées à la même source.
Cette source de ciguë tarira.
Il ne tient qu’à nous !
Au delà de l’attachement naturel que peut susciter ce roman à l’eau rouge, affection éternelle d’un père veuf pour son fils, atteint qui plus est d’une pathologie dont l’origine trouve ses sources dans la perception corrompue des vérités immuables de ce monde.
Ce livre terriblement mal traduit (qui sait encore lire l’anglais honni) est du pain béni pour la sphère bien-pensante gauchiste des élites et médias gavés d’autosatisfaction et d’antitrumpisme.
Ce livre n’est qu’une tumeur de plus rongeuse de notre société au bord du gouffre creusé par les fous climatiques ignares de la Science vraie et de l’Histoire Géologique de notre planète, imbibés de désinformation distillée par un petit nombre de puissants dont l’objectif unique est l’éradication de l’essentiel de ce qu’est l’humanité, au plus vite et par tous les moyens.
Les commentaires alignés sur la doxa, sont autant de métastases mortifères, marqueurs de l’agonie de notre Civilisation à bout de souffle sous les coups de butoir de l’autre, imprononçable, encore primitive, avide de sang et de violences, forte de ses capacités sacrificielles face auxquelles les hordes émasculées abruties de novlangue sulfureuse dont l’épicentre est l’implacable haine de soi, et dont l’An de Grâce 732 n’a jamais rien incarné.
De ces livres qui soumettent notre jeunesse lycéenne usant de leur jeune vigueur pour creuser plus vite encore notre fosse commune.
De ces livres pour lesquels Fahrenheit 451 a été imaginé !
Puisse-t-il être par delà le temps, cette prophétie si improbable qui sauverait ce qui peut l’être encore de notre monde, purifié dans les braises ardentes de ces pages maudites entassées en bûcher, aux cendres évaporées au gré d’un vent nouveau venu apaiser celui des six millions d’âmes assassinées par des idées identiques puisées à la même source.
Cette source de ciguë tarira.
Il ne tient qu’à nous !