Prisonniers au Mont-Saint-Michel

Par : Robert Sinsoilliez

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages351
  • PrésentationBroché
  • Poids0.57 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-84141-112-5
  • EAN9782841411122
  • Date de parution01/03/2006
  • ÉditeurAncre de Marine Editions

Résumé

Abbaye fortifiée de tours et de remparts, citadelle imprenable défendue par la mer, le Mont-Saint-Michel défiant les siècles se dresse orgueilleux dans son décor de sable et de ciel infini. Il fut pourtant, durant des décennies, un impitoyable univers carcéral avec ses cachots insalubres, ses sombres oubliettes et ses cages de fer. Successivement prison pour les prêtres indisciplinés et les individus arrêtés en ,vertu de lettres de cachet, puis maison de force et de correction pour les condamnés à la réclusion et aux travaux forcés, l'abbaye ne cessa qu'en 1863 d'être un lieu de détention.
Des milliers de prisonniers : hommes, femmes, enfants, déportés politiques, chouans, bagnards ou princes du sang y furent enfermés. Dans les cachots à l'air vicié, aux murs ruisselants d'humidité où les détenus s'entassaient, la mortalité était effrayante. En 1817 on dénombra 24 morts âgés de 17 à 76 ans, en 1818 on en compta 56 et l'année 1820 atteignit des sommets. Le typhus ravagea l'établissement causant 22 victimes en trois mois.
Un prisonnier célèbre et mythomane qui affirmait être Louis XVII échappé du Temple, des hommes politiques comme Barbès et Blanqui ont marqué la longue histoire carcérale du Mont, faite de drames, de révoltes, d'incendies, d'évasions et de suicides. Ecrivain et historien, Robert Sinsoilliez signe une fois encore un ouvrage magistral, authentique et passionnant témoignage sur un aspect méconnu du prestigieux Mont-Saint-Michel.
Abbaye fortifiée de tours et de remparts, citadelle imprenable défendue par la mer, le Mont-Saint-Michel défiant les siècles se dresse orgueilleux dans son décor de sable et de ciel infini. Il fut pourtant, durant des décennies, un impitoyable univers carcéral avec ses cachots insalubres, ses sombres oubliettes et ses cages de fer. Successivement prison pour les prêtres indisciplinés et les individus arrêtés en ,vertu de lettres de cachet, puis maison de force et de correction pour les condamnés à la réclusion et aux travaux forcés, l'abbaye ne cessa qu'en 1863 d'être un lieu de détention.
Des milliers de prisonniers : hommes, femmes, enfants, déportés politiques, chouans, bagnards ou princes du sang y furent enfermés. Dans les cachots à l'air vicié, aux murs ruisselants d'humidité où les détenus s'entassaient, la mortalité était effrayante. En 1817 on dénombra 24 morts âgés de 17 à 76 ans, en 1818 on en compta 56 et l'année 1820 atteignit des sommets. Le typhus ravagea l'établissement causant 22 victimes en trois mois.
Un prisonnier célèbre et mythomane qui affirmait être Louis XVII échappé du Temple, des hommes politiques comme Barbès et Blanqui ont marqué la longue histoire carcérale du Mont, faite de drames, de révoltes, d'incendies, d'évasions et de suicides. Ecrivain et historien, Robert Sinsoilliez signe une fois encore un ouvrage magistral, authentique et passionnant témoignage sur un aspect méconnu du prestigieux Mont-Saint-Michel.
Espions du roi
Robert Sinsoilliez
Grand Format
25,00 €