Printemps ou hiver arabe ? (2011-2014)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- Poids0.235 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-343-05899-3
- EAN9782343058993
- Date de parution01/07/2015
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le Printemps arabe, déclenché en 2011 en Tunisie, a déferlé sur la quasi-totalité des pays arabes. Les jeunes qui ont manifesté dans les rues et places du monde arabe ont réclamé la dignité, la liberté, la démocratie, la création d'emplois et la justice sociale. Quatre ans plus tard, le bilan est mitigé. L'élément positif a été le départ des dictateurs de Tunisie, d'Egypte, de Libye et du Yémen. On peut citer aussi quelques avancées politiques, sans changement de régime, au Maroc, en Mauritanie, en Jordanie et en Algérie.
Les droits de l'homme, la citoyenneté, la liberté d'expression, la transparence des élections, ont progressé dans la plupart des pays arabes. Cependant, dans ces sociétés, un clivage est apparu entre les modernistes et les traditionalistes. Au Maroc et en Tunisie, il a été résorbé par un compromis entre ces deux forces vives. Malheureusement, en Egypte, le pouvoir a été repris par les militaires, la Libye, la Syrie et le Yémen vivent une situation de chaos, et les pays arabes du Golfe n'ont fait aucune réforme politique.
De plus, les pays arabes qui ont connu la révolution ont subi une grave récession économique du fait de l'instabilité politique. Tout est à reconstruire dans le monde arabe sur le plan politique, économique et social, sinon il sera marginalisé dans un monde en pleine évolution.
Les droits de l'homme, la citoyenneté, la liberté d'expression, la transparence des élections, ont progressé dans la plupart des pays arabes. Cependant, dans ces sociétés, un clivage est apparu entre les modernistes et les traditionalistes. Au Maroc et en Tunisie, il a été résorbé par un compromis entre ces deux forces vives. Malheureusement, en Egypte, le pouvoir a été repris par les militaires, la Libye, la Syrie et le Yémen vivent une situation de chaos, et les pays arabes du Golfe n'ont fait aucune réforme politique.
De plus, les pays arabes qui ont connu la révolution ont subi une grave récession économique du fait de l'instabilité politique. Tout est à reconstruire dans le monde arabe sur le plan politique, économique et social, sinon il sera marginalisé dans un monde en pleine évolution.
Le Printemps arabe, déclenché en 2011 en Tunisie, a déferlé sur la quasi-totalité des pays arabes. Les jeunes qui ont manifesté dans les rues et places du monde arabe ont réclamé la dignité, la liberté, la démocratie, la création d'emplois et la justice sociale. Quatre ans plus tard, le bilan est mitigé. L'élément positif a été le départ des dictateurs de Tunisie, d'Egypte, de Libye et du Yémen. On peut citer aussi quelques avancées politiques, sans changement de régime, au Maroc, en Mauritanie, en Jordanie et en Algérie.
Les droits de l'homme, la citoyenneté, la liberté d'expression, la transparence des élections, ont progressé dans la plupart des pays arabes. Cependant, dans ces sociétés, un clivage est apparu entre les modernistes et les traditionalistes. Au Maroc et en Tunisie, il a été résorbé par un compromis entre ces deux forces vives. Malheureusement, en Egypte, le pouvoir a été repris par les militaires, la Libye, la Syrie et le Yémen vivent une situation de chaos, et les pays arabes du Golfe n'ont fait aucune réforme politique.
De plus, les pays arabes qui ont connu la révolution ont subi une grave récession économique du fait de l'instabilité politique. Tout est à reconstruire dans le monde arabe sur le plan politique, économique et social, sinon il sera marginalisé dans un monde en pleine évolution.
Les droits de l'homme, la citoyenneté, la liberté d'expression, la transparence des élections, ont progressé dans la plupart des pays arabes. Cependant, dans ces sociétés, un clivage est apparu entre les modernistes et les traditionalistes. Au Maroc et en Tunisie, il a été résorbé par un compromis entre ces deux forces vives. Malheureusement, en Egypte, le pouvoir a été repris par les militaires, la Libye, la Syrie et le Yémen vivent une situation de chaos, et les pays arabes du Golfe n'ont fait aucune réforme politique.
De plus, les pays arabes qui ont connu la révolution ont subi une grave récession économique du fait de l'instabilité politique. Tout est à reconstruire dans le monde arabe sur le plan politique, économique et social, sinon il sera marginalisé dans un monde en pleine évolution.