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C'était une Princesse Qui avait tant perdu... Dans une vie de détresse, Elle restait suspendue. Adieu ses bons parents, Adieu ses jolies jambes, Les malheurs bien trop grands D'un petit coeur qui flambe. Plus d'autre promenade Qu'en son jardin fleuri, Plus d'autres camarades Que ses bebêtes chéries. Mais un jour de ménage, D'un geste maladroit, Elle bouscula la cage D'une râleuse à l'étroit Et c'est tout en malice Qu'elle sauva sa sauveuse, Puis saisit les délices D'une vie plus heureuse !