Dès sa petite enfance, le mystère de la foi s'imposa à François Mauriac comme une colonne vertébrale. Ce n'était pas un élan mystique dont le mouvement aurait fait chavirer son cœur. C'était la conviction que le Christ transfigurait par sa présence l'existence de l'homme dans sa totalité, qu'Il l'aimait parce qu'Il le sauvait, et qu'Il incarnait Son amour dans les tourments du péché.
Dès sa petite enfance, le mystère de la foi s'imposa à François Mauriac comme une colonne vertébrale. Ce n'était pas un élan mystique dont le mouvement aurait fait chavirer son cœur. C'était la conviction que le Christ transfigurait par sa présence l'existence de l'homme dans sa totalité, qu'Il l'aimait parce qu'Il le sauvait, et qu'Il incarnait Son amour dans les tourments du péché.