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Prier 15 jours avec le cardinal Marty
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- Nombre de pages125
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.124 kg
- Dimensions11,5 cm × 19,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-85313-723-2
- EAN9782853137232
- Date de parution23/01/2014
- CollectionPrier 15 jours
- ÉditeurNouvelle Cité
- PréfacierGeorges Gilson
Résumé
Témoin vigoureux de Dieu dans ce monde et pour ce monde, le cardinal Marty (1904-1994) est une figure marquante et attachante de l'Eglise de France de l'après-concile. Nommé archevêque de Paris en plein tumulte de mai 1968, il a vivement marqué par sa simplicité et sa profondeur. Sans oublier l'accent rocailleux de son Aveyron natal si atypique dans les hautes sphères parisiennes. Ce "prince paysan" avait une "autorité naturelle qui imposait le silence" se rappelle Mgr Gilson dans son émouvante introduction.
La passion du cardinal pour l'homme, la mission et l'Eglise fut permanente : "J'aime l'Eglise parce qu'elle est une "cour des miracles" où se rassemble la misère du monde et se révèle la grandeur de l'homme. Dieu y fait des miracles. Chaque matin, l'Eglise renaît de Dieu".
La passion du cardinal pour l'homme, la mission et l'Eglise fut permanente : "J'aime l'Eglise parce qu'elle est une "cour des miracles" où se rassemble la misère du monde et se révèle la grandeur de l'homme. Dieu y fait des miracles. Chaque matin, l'Eglise renaît de Dieu".
Témoin vigoureux de Dieu dans ce monde et pour ce monde, le cardinal Marty (1904-1994) est une figure marquante et attachante de l'Eglise de France de l'après-concile. Nommé archevêque de Paris en plein tumulte de mai 1968, il a vivement marqué par sa simplicité et sa profondeur. Sans oublier l'accent rocailleux de son Aveyron natal si atypique dans les hautes sphères parisiennes. Ce "prince paysan" avait une "autorité naturelle qui imposait le silence" se rappelle Mgr Gilson dans son émouvante introduction.
La passion du cardinal pour l'homme, la mission et l'Eglise fut permanente : "J'aime l'Eglise parce qu'elle est une "cour des miracles" où se rassemble la misère du monde et se révèle la grandeur de l'homme. Dieu y fait des miracles. Chaque matin, l'Eglise renaît de Dieu".
La passion du cardinal pour l'homme, la mission et l'Eglise fut permanente : "J'aime l'Eglise parce qu'elle est une "cour des miracles" où se rassemble la misère du monde et se révèle la grandeur de l'homme. Dieu y fait des miracles. Chaque matin, l'Eglise renaît de Dieu".
A propos de Roch-Etienne Migliorino