Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Homme du sacrifice de son temps, de son vouloir propre, de toute sa vie, le prêtre se sait tenu à un dépouillement progressif qui, loin d'être une...
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Résumé
Homme du sacrifice de son temps, de son vouloir propre, de toute sa vie, le prêtre se sait tenu à un dépouillement progressif qui, loin d'être une dépersonnalisation, est au contraire une condition pour que Dieu le comble de sa plénitude. L'expérience de sa faiblesse devant la grandeur de la tâche lui fait espérer davantage dans la grâce. Il sait que, sans Dieu, il n'est rien, mais qu'avec Lui, il peut réaliser de grandes choses.
Toute la vie du prêtre est caractérisée par un infini du don, qui impose qu'il perçoive les grands phénomènes de notre temps pour en saisir la signification spirituelle ; cela exige qu'il accorde une attention permanente au monde vers lequel il est envoyé et au milieu duquel il vit. L'évolution constante de ce monde requiert une progression parallèle, dans le sens d'une adaptation formelle des méthodes de pastorale et de catéchèse, en particulier. Il ne s'agit pas de compromettre, si peu que ce soit, l'essentiel qui est intangible, mais de réviser sans cesse la manière de présenter aux hommes de ce temps l'héritage reçu de vingt siècles de christianisme.
Mais le prêtre sait que son témoignage sera surtout silencieux ; c'est le témoignage d'une vie qui doit laisser transparaître à tout moment la présence et l'amour de Dieu. Tel est bien le but de sa vie d'ascèse, de cette nécessaire mort à soi-même, qui fait de l'homme du sacrifice l'homme de la joie.
Dans une société plus indifférente que franchement hostile, le prêtre est marginalisé et souvent seul. Le peuple chrétien doit prendre conscience de son devoir d'accueil à l'égard de celui qui lui est envoyé pour veiller à ses relations avec Dieu.