Vincent Duclert est chercheur au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (École des Hautes Études en Sciences Sociales) et professeur associé à Sciences Po.
Premiers combats. La démocratie républicaine et la haine des juifs
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- Nombre de pages64
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.08 kg
- Dimensions15,1 cm × 21,2 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-07-297640-7
- EAN9782072976407
- Date de parution02/12/2021
- CollectionTracts/Gallimard
- ÉditeurGallimard
Résumé
Face à tant d'impuissance pour agir et penser aujourd'hui face à l'antisémitisme, il n'est pas vain de rappeler à la France, à l'Europe, le meilleur de ce qu'elles ont été dans le passé, afin de demeurer capables encore d'édifier des sociétés démocratiques. Ces récits de combats héroïques réinsufflent à la raison démocratique un supplément d'âme. Il ne suffit pas d'invoquer la démocratie pour la défendre.
On doit "croire" en elle et trouver, dans cette croyance de raison, le courage de se battre pour elle. En 1910, Charles Péguy écrit dans Notre jeunesse que l'affaire Dreyfus "ne finira jamais". Plus elle est finie, explique-t-il, "plus elle prouve".
On doit "croire" en elle et trouver, dans cette croyance de raison, le courage de se battre pour elle. En 1910, Charles Péguy écrit dans Notre jeunesse que l'affaire Dreyfus "ne finira jamais". Plus elle est finie, explique-t-il, "plus elle prouve".
Face à tant d'impuissance pour agir et penser aujourd'hui face à l'antisémitisme, il n'est pas vain de rappeler à la France, à l'Europe, le meilleur de ce qu'elles ont été dans le passé, afin de demeurer capables encore d'édifier des sociétés démocratiques. Ces récits de combats héroïques réinsufflent à la raison démocratique un supplément d'âme. Il ne suffit pas d'invoquer la démocratie pour la défendre.
On doit "croire" en elle et trouver, dans cette croyance de raison, le courage de se battre pour elle. En 1910, Charles Péguy écrit dans Notre jeunesse que l'affaire Dreyfus "ne finira jamais". Plus elle est finie, explique-t-il, "plus elle prouve".
On doit "croire" en elle et trouver, dans cette croyance de raison, le courage de se battre pour elle. En 1910, Charles Péguy écrit dans Notre jeunesse que l'affaire Dreyfus "ne finira jamais". Plus elle est finie, explique-t-il, "plus elle prouve".