En cours de chargement...
La bioélectronique fut conçue en 1948 par un ingénieur de génie : Louis Claude Vincent. Grâce à trois paramètres mesurés chacun sur le sang, la salive et l'urine, Vincent considérait que l'on pouvait quantifier l'état de santé et définir par des données physicochimiques objectivables, la notion de "terrain". Il s'agit du pH, du rH2 et de pi. Très vite la méthode intéressa des grands noms de la biologie et de la médecine, mais elle n'eut jamais en France le retentissement qu'elle aurait dû conquérir.
En Allemagne, la bioélectronique de Vincent a acquis une certaine notoriété. Des industriels y font appel comme référence quant à la qualité de leurs produits (brasseries, fabricants de jus de fruits et de légumes, de cosmétiques…). Elle s'est implantée avec succès dans certaines institutions de soins (cliniques, instituts de remise en forme…). Ce n'est pas un hasard si la prestigieuse NASA a utilisé cette méthodologie dans le contrôle de l'état de santé des astronautes lors de voyages spatiaux.
Aujourd'hui, la médecine de pointe, en raison de l'importance qu'elle accorde à la formation et au métabolisme des radicaux libres, à la genèse du "stress oxydatif", exprimé par le rH2 dans les pathologies dites de civilisation (cancers, maladies cardio-vasculaires, allergies…) ne fait que confirmer le génie de tous ceux qui ont voué leur vie à faire triompher des concepts justes, mais qui avaient le tort de devancer leur temps.