Pourquoi moi je suis moi ?
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages96
- PrésentationBroché
- Poids0.184 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-07-014700-7
- EAN9782070147007
- Date de parution16/10/2014
- ÉditeurGallimard
- IllustrateurSandrine Martin
Résumé
Chaque enfant est un bricoleur de questions qu'il confectionne avec des bribes d'intuitions et des termes qu'il expérimente sans les comprendre : "Un jour, tu vas mourir : qu'est-ce que tu feras quand tu auras fini d'être mort ? " Etonné ou inquiet, il insiste pour avoir une réponse puis passe bien vite à une autre question : "Comment on fait pour effacer un baiser ? " Face au petit sphinx, l'adulte est un Odipe perplexe, parfois dérouté.
Ces questions troublantes, boiteuses mais poétiques ou innocemment métaphysiques, Pierre Péju tente de leur donner un sens, de les redresser en les accompagnant comme on soutient délicatement un enfant qui commence à marcher. Pour cela, il s'adresse à un "enfant imaginaire" qui est à la fois le petit curieux de quatre à dix ans (auquel un adulte sert de médiateur) et l'enfant qui, toujours, demeure en chacun de nous, silencieux, et hésite à formuler des questions à la fois simples et éternelles comme "Pourquoi moi je suis moi ? " Mais on sait qu'une question peut être plus précieuse que toutes les réponses, car elle témoigne de cette fameuse faculté d'étonnement, qui est à l'origine de l'esprit philosophique comme au commencement de toute pensée humaine.
Ces questions troublantes, boiteuses mais poétiques ou innocemment métaphysiques, Pierre Péju tente de leur donner un sens, de les redresser en les accompagnant comme on soutient délicatement un enfant qui commence à marcher. Pour cela, il s'adresse à un "enfant imaginaire" qui est à la fois le petit curieux de quatre à dix ans (auquel un adulte sert de médiateur) et l'enfant qui, toujours, demeure en chacun de nous, silencieux, et hésite à formuler des questions à la fois simples et éternelles comme "Pourquoi moi je suis moi ? " Mais on sait qu'une question peut être plus précieuse que toutes les réponses, car elle témoigne de cette fameuse faculté d'étonnement, qui est à l'origine de l'esprit philosophique comme au commencement de toute pensée humaine.
Chaque enfant est un bricoleur de questions qu'il confectionne avec des bribes d'intuitions et des termes qu'il expérimente sans les comprendre : "Un jour, tu vas mourir : qu'est-ce que tu feras quand tu auras fini d'être mort ? " Etonné ou inquiet, il insiste pour avoir une réponse puis passe bien vite à une autre question : "Comment on fait pour effacer un baiser ? " Face au petit sphinx, l'adulte est un Odipe perplexe, parfois dérouté.
Ces questions troublantes, boiteuses mais poétiques ou innocemment métaphysiques, Pierre Péju tente de leur donner un sens, de les redresser en les accompagnant comme on soutient délicatement un enfant qui commence à marcher. Pour cela, il s'adresse à un "enfant imaginaire" qui est à la fois le petit curieux de quatre à dix ans (auquel un adulte sert de médiateur) et l'enfant qui, toujours, demeure en chacun de nous, silencieux, et hésite à formuler des questions à la fois simples et éternelles comme "Pourquoi moi je suis moi ? " Mais on sait qu'une question peut être plus précieuse que toutes les réponses, car elle témoigne de cette fameuse faculté d'étonnement, qui est à l'origine de l'esprit philosophique comme au commencement de toute pensée humaine.
Ces questions troublantes, boiteuses mais poétiques ou innocemment métaphysiques, Pierre Péju tente de leur donner un sens, de les redresser en les accompagnant comme on soutient délicatement un enfant qui commence à marcher. Pour cela, il s'adresse à un "enfant imaginaire" qui est à la fois le petit curieux de quatre à dix ans (auquel un adulte sert de médiateur) et l'enfant qui, toujours, demeure en chacun de nous, silencieux, et hésite à formuler des questions à la fois simples et éternelles comme "Pourquoi moi je suis moi ? " Mais on sait qu'une question peut être plus précieuse que toutes les réponses, car elle témoigne de cette fameuse faculté d'étonnement, qui est à l'origine de l'esprit philosophique comme au commencement de toute pensée humaine.