Pourquoi La Psychanalyse ?

Par : Elisabeth Roudinesco

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-08-080019-1
  • EAN9782080800190
  • Date de parution05/09/2001
  • CollectionChamps
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Pourquoi consacrer tant de temps à la cure par la parole quand les médicaments, parce qu'ils agissent directement sur les symptômes des maladies nerveuses et mentales, donnent des résultats plus rapides ? Les théoriciens du cerveau-machine n'ont-ils pas en outre réduit en cendres les chimériques constructions freudiennes ? Dans ces conditions, la psychanalyse a-t-elle un avenir ? C'est à ces trois questions qu'Elisabeth Roudinesco répond dans cet essai combatif, informé, résolument critique des prétentions contemporaines à convertir la science en religion et à regarder l'homme comme un automate. Les médicaments ? Chacun sait que la France fait grande consommation de psychotropes pour soigner l'angoisse, la dépression, la folie, les névroses, et on ne saurait nier leur efficacité. Faut-il pour autant réduire la pensée à un neurone et confondre le désir avec une sécrétion chimique ?
Pourquoi consacrer tant de temps à la cure par la parole quand les médicaments, parce qu'ils agissent directement sur les symptômes des maladies nerveuses et mentales, donnent des résultats plus rapides ? Les théoriciens du cerveau-machine n'ont-ils pas en outre réduit en cendres les chimériques constructions freudiennes ? Dans ces conditions, la psychanalyse a-t-elle un avenir ? C'est à ces trois questions qu'Elisabeth Roudinesco répond dans cet essai combatif, informé, résolument critique des prétentions contemporaines à convertir la science en religion et à regarder l'homme comme un automate. Les médicaments ? Chacun sait que la France fait grande consommation de psychotropes pour soigner l'angoisse, la dépression, la folie, les névroses, et on ne saurait nier leur efficacité. Faut-il pour autant réduire la pensée à un neurone et confondre le désir avec une sécrétion chimique ?